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Que se passe-t-il sur le marché de la greentech en France ? Les investissements augmentent-ils ? Les innovations se multiplient-elles ? Quelles tendances surveiller en 2025 ? Comment les nouvelles réglementations impactent-elles les entreprises du secteur ?
Ce sont des questions que nous recevons chaque jour—entrepreneurs, investisseurs, chercheurs et experts du secteur, de Paris à Lyon. Peut-être vous aussi.
Nous échangeons avec des acteurs de la greentech (notamment ceux qui ont adopté notre solution complète), des consultants et des analystes, et suivons de près le marché. Cet article vous apporte une analyse claire et les tendances clés.
Notre objectif : vous offrir une vision précise sans recherche supplémentaire. Si vous souhaitez que nous approfondissions certains points, envoyez-nous vos retours.
1) L'économie circulaire s'impose avec des produits greentech réparables et recyclables
L'économie circulaire, qui vise à réduire le gaspillage en réutilisant les ressources, se développe rapidement en France grâce aux produits greentech conçus pour être réparables et recyclables.
En 2023, les startups greentech françaises ont levé 2,78 milliards d'euros, ce qui montre l'intérêt croissant des investisseurs pour ces solutions innovantes. Cette augmentation de 9% par rapport à l'année précédente reflète un soutien fort pour les technologies qui favorisent l'économie circulaire. De plus, le nombre d'entreprises greentech en France a augmenté de 27% entre 2022 et 2023, atteignant environ 2 750 entreprises. Cela indique que de plus en plus d'entreprises adoptent des modèles économiques circulaires.
Des entreprises comme Back Market, qui se spécialise dans le reconditionnement de produits électroniques, illustrent bien cette tendance. Elles encouragent la réutilisation et le recyclage, réduisant ainsi le gaspillage électronique. En parallèle, le gouvernement français soutient cette transition avec des lois comme la loi anti-gaspillage, qui favorise la réduction des déchets et la réutilisation des produits.
Les consommateurs montrent aussi un intérêt croissant pour la réparabilité des produits, comme le prouve la popularité des ateliers de réparation et des fablabs. Ces initiatives permettent de prolonger la durée de vie des produits, diminuant ainsi le besoin d'achats neufs et réduisant les déchets. En outre, les collaborations entre entreprises pour créer des chaînes d'approvisionnement circulaires se multiplient, bien que des exemples précis ne soient pas mentionnés.
De nombreuses grandes entreprises françaises s'engagent à réduire leur empreinte carbone en adoptant des pratiques circulaires. Cela renforce la tendance vers une économie plus durable. Les projections pour l'avenir montrent que l'économie circulaire continuera à se développer, avec un accent sur les technologies facilitant le recyclage des matériaux complexes et le développement de systèmes de consigne pour encourager le retour des produits usagés.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Greentech Innovation, Bpifrance Étude
2) Les applications mobiles greentech séduisent les Français pour réduire leur empreinte carbone
Le marché de la greentech en France est en plein essor, avec une forte montée des applications mobiles qui aident les gens à suivre et réduire leur empreinte carbone.
En 2023, le secteur greentech en France a levé 2,78 milliards d'euros, ce qui représente une augmentation de 9% par rapport à l'année précédente. Cette somme a permis de financer de nombreuses initiatives, y compris le développement d'applications mobiles axées sur la durabilité. Par exemple, des startups comme Greenly ont levé 49 millions d'euros pour créer des outils numériques qui aident les utilisateurs à comprendre et gérer leur impact environnemental.
Le nombre de greentech en France a aussi beaucoup augmenté, atteignant environ 2 750 entreprises fin 2023, soit une hausse de 27% par rapport à 2022. Cette explosion de startups a stimulé l'innovation dans les applications mobiles, car de plus en plus d'entreprises cherchent à répondre à la demande des consommateurs pour des outils pratiques qui les aident à réduire leur empreinte carbone. Ces applications permettent de suivre la consommation énergétique, de calculer l'empreinte carbone et de recevoir des conseils pour adopter des comportements plus durables.
L'engagement des investisseurs, avec des initiatives comme celles de Bpifrance dans le cadre de France 2030, a été crucial. En finançant des projets innovants et en encourageant l'adoption de technologies mobiles pour la durabilité, ces initiatives ont créé un environnement favorable à l'émergence de nouvelles applications mobiles greentech. Bien que les sources ne mentionnent pas explicitement une augmentation des téléchargements d'applications greentech, la tendance vers des solutions numériques et durables est claire.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Green Nation, Bpifrance
Si vous débutez une entreprise sur le marché de la greentech, il vous faudra anticiper les besoins des clients. Nous avons conçu cette infographie pour vous aider à y voir plus clair.
3) Les "villes-forêts" greentech captivent l'intérêt urbain croissant
Les "villes-forêts", où la technologie verte se mêle aux espaces verts urbains, intéressent de plus en plus de monde.
En France, l'Institut Paris Région a lancé des projets pour transformer les villes en lieux où la nature et l'urbanisme s'entendent bien. Par exemple, ils ont créé des corridors écologiques qui relient le bois de Vincennes et l'Arc boisé, montrant ainsi une volonté de créer de grands espaces verts et bleus. Ces initiatives ne sont pas seulement esthétiques; elles aident aussi à protéger la biodiversité et à améliorer la vie en ville.
Les investissements dans la technologie verte augmentent, ce qui montre cet intérêt croissant. Le gouvernement français soutient des projets innovants avec des financements importants pour le secteur forestier. Par exemple, le programme France 2030 prévoit 40 millions d'euros sur sept ans pour rendre les forêts plus résistantes, soulignant l'importance de la durabilité dans les politiques publiques.
Les espaces verts urbains apportent de nombreux avantages environnementaux. Des études ont prouvé que des corridors forestiers, comme ceux entre les massifs de Notre-Dame et d'Armanvilliers, améliorent la biodiversité locale. Ces espaces ne sont pas seulement des refuges pour la faune et la flore; ils réduisent aussi la pollution urbaine, ce qui améliore la qualité de l'air et la santé publique. L'intégration de la biodiversité dans l'urbanisme, comme le montrent les projets de l'Institut Paris Région, est devenue courante, renforçant l'idée que les villes-forêts sont une solution durable pour l'avenir urbain.
Les initiatives pour intégrer la nature en ville ne sont pas isolées. Elles font partie d'un mouvement plus large de sensibilisation aux enjeux environnementaux. Les événements sur l'urbanisme durable se multiplient, et les réseaux sociaux aident à promouvoir les espaces verts urbains. Cette prise de conscience collective est cruciale pour encourager les citoyens à s'engager dans des projets de verdissement urbain.
Les collaborations entre architectes et écologistes, bien que discrètes, se multiplient et sont essentielles pour concevoir des projets urbains durables. Ces partenariats, souvent soutenus par des subventions et des programmes gouvernementaux, permettent de développer des solutions innovantes pour intégrer la nature dans les villes. En 2025, il est clair que les villes-forêts ne sont plus une simple utopie, mais une réalité en pleine expansion.
Sources : Institut Paris Région, ONF, Forest Topic, Europe en France, ANR
4) Le machine learning s’impose dans la greentech pour anticiper les catastrophes environnementales
Les solutions greentech qui utilisent le machine learning pour prédire et prévenir les catastrophes environnementales deviennent de plus en plus importantes.
En 2025, le secteur greentech en France connaît une croissance rapide, avec une augmentation de 27% du nombre d'entreprises, atteignant 2 750 sociétés. Cette expansion est soutenue par un afflux de capitaux, avec 2,78 milliards d'euros levés en capital-risque, montrant l'intérêt des investisseurs. Les technologies avancées comme le machine learning sont au cœur de cette dynamique, car elles aident à anticiper les catastrophes environnementales.
Les municipalités et entreprises françaises adoptent de plus en plus ces technologies prédictives. Elles permettent de modéliser des scénarios complexes et d'émettre des alertes précoces, essentielles pour gérer les risques de manière proactive. Des partenariats entre entreprises technologiques et institutions environnementales se multiplient, intégrant des solutions basées sur le machine learning.
Le gouvernement français soutient cette évolution à travers des initiatives comme France 2030, qui encourage le développement des greentech. Cela inclut des subventions pour des projets utilisant le machine learning, intégrant ces technologies dans les stratégies nationales de transition écologique. Cette politique vise à utiliser les ressources naturelles de manière durable et efficace.
Des start-ups comme Greenly, qui a levé 49 millions d'euros pour l'analyse carbone digitalisée, et NeoCem, avec 23 millions d'euros pour la construction écologique, montrent l'engouement pour les solutions technologiques innovantes. Les investisseurs soutiennent des entreprises proposant des solutions durables, ce qui pourrait inclure des applications de machine learning pour la prédiction environnementale.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Greentech Innovation, Bpifrance Étude
5) Les biotechnologies révolutionnent les matériaux de construction durables en greentech
Les innovations greentech utilisant les biotechnologies pour créer des matériaux de construction durables se multiplient rapidement.
En France, le secteur de la greentech connaît une croissance rapide grâce à des investissements massifs dans des startups comme Greenly, Bioptimus, et NeoCem, qui développent des solutions écologiques variées. Ces entreprises travaillent sur des projets allant de l'analyse carbone à la construction écologique, montrant ainsi la diversité de l'innovation dans ce domaine.
Un exemple concret est l'entreprise Materrup, qui a levé 26 millions d'euros pour créer un ciment bas-carbone à partir d'argile non calcinée. Ce type de matériau aide à réduire l'empreinte carbone des bâtiments, répondant à la demande croissante pour des constructions plus écologiques. Les certifications environnementales de plus en plus strictes poussent aussi les entreprises à adopter ces matériaux durables.
Le plan France 2030, avec un budget de 54 milliards d'euros, consacre une part importante à la greentech, notamment pour la décarbonation et les énergies renouvelables. Cela montre l'engagement du gouvernement à soutenir des solutions durables et à encourager l'innovation dans la construction. Les politiques d'urbanisme commencent aussi à intégrer des matériaux biosourcés, bien que des exemples précis ne soient pas toujours disponibles.
Les collaborations entre universités, entreprises et laboratoires de recherche sont cruciales pour développer des matériaux innovants. Par exemple, GREENTECH a investi dans un centre de fermentation de précision en partenariat avec plusieurs acteurs pour créer des produits novateurs. Ces partenariats allient expertise académique et savoir-faire industriel, favorisant l'émergence de solutions pionnières.
La médiatisation des enjeux environnementaux et les études sur l'empreinte carbone des matériaux traditionnels sensibilisent de plus en plus le public et les professionnels à l'importance de choisir des matériaux durables. Bien que des données spécifiques ne soient pas toujours disponibles, l'impact positif des matériaux innovants sur l'environnement est de plus en plus reconnu.
Sources : Direct Industry, Leogrid, Business France, Xerfi, Leonard
6) La transparence de la chaîne d'approvisionnement séduit les consommateurs éthiques
Les produits greentech qui montrent clairement comment ils sont fabriqués deviennent très populaires.
En 2025, le secteur greentech en France est en plein essor, avec une forte augmentation du nombre d'entreprises. Les gens veulent des produits qui respectent l'environnement et qui sont fabriqués de manière transparente. Ils veulent savoir d'où viennent les produits et comment ils sont faits, ce qui pousse les entreprises à être plus ouvertes sur leurs processus.
Les investissements dans le secteur greentech ont atteint 2,78 milliards d'euros en 2023, ce qui montre l'importance de la durabilité et de la transparence. Des entreprises comme Verkor et Ynsect ont levé beaucoup d'argent pour créer des solutions innovantes. Elles ne se contentent pas de proposer des produits écologiques, elles partagent aussi des informations détaillées sur leur production, ce qui renforce la confiance des consommateurs.
La technologie aide beaucoup à rendre les chaînes d'approvisionnement plus transparentes. Par exemple, Greenly utilise des technologies comme la blockchain pour permettre aux consommateurs de suivre chaque étape de la fabrication d'un produit. Cette traçabilité complète est un gros avantage pour les entreprises greentech, car elle les aide à se démarquer.
Les initiatives gouvernementales, comme le Plan France 2030 soutenu par Bpifrance, encouragent aussi cette tendance. Elles poussent les entreprises à adopter des pratiques durables et transparentes, ce qui répond aux attentes des consommateurs d'aujourd'hui. Les collaborations avec des ONG, bien que non mentionnées spécifiquement, sont également importantes pour renforcer la crédibilité de ces entreprises.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Green Nation, Bpifrance
7) Les coopératives citoyennes dynamisent l'énergie renouvelable en France
Les coopératives énergétiques locales se multiplient en France, où les citoyens investissent ensemble dans des projets d'énergie renouvelable.
En 2023, le nombre de Greentech en France a atteint environ 2 750, ce qui montre un intérêt croissant pour les solutions énergétiques durables. Ces coopératives, comme Enercoop, permettent aux gens de participer directement à la transition énergétique en investissant dans des projets verts. Cela aide non seulement à diversifier les sources de financement, mais aussi à renforcer l'acceptation sociale et l'engagement communautaire.
Des entreprises comme Verkor et NW s'intéressent aussi aux technologies de stockage d'énergie, ce qui complète bien les projets de production d'énergie renouvelable. Le soutien des acteurs publics et privés est crucial pour le développement de ces coopératives. Par exemple, des institutions comme Bpifrance, l'ADEME, et la Banque des Territoires apportent des financements et des conseils précieux.
La législation française a évolué pour encourager ces initiatives, avec des cadres réglementaires et des incitations spécifiques pour les projets communautaires. Cela rend les investissements dans les coopératives énergétiques plus attractifs pour les citoyens et les collectivités locales. Cette dynamique est soutenue par un cadre législatif favorable qui encourage la transition écologique.
Sources : Bpifrance, Xerfi, La French Tech, Leogrid
8) Les produits greentech recyclés séduisent les consommateurs français
Les Français s'intéressent de plus en plus aux produits greentech faits avec des matériaux recyclés ou biodégradables.
En 2023, le nombre d'entreprises greentech en France a atteint environ 2 750, ce qui montre une hausse de 27 % par rapport à l'année précédente. Cette augmentation reflète une demande croissante pour des solutions innovantes et durables, car les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par l'environnement. Les entreprises greentech se multiplient pour répondre à cette demande.
Les investissements dans la greentech se concentrent sur des domaines comme les nouveaux matériaux et la mobilité électrique. Par exemple, les startups Verkor et Driveco ont levé respectivement 850 millions d'euros et 250 millions d'euros en 2023 pour développer des solutions de recharge électrique. Cela montre bien l'engouement pour des technologies plus propres. D'autres entreprises comme Greenly et NeoCem, qui travaillent sur l'analyse carbone et la construction écologique, attirent aussi des financements importants.
Les initiatives gouvernementales, comme le programme France 2030, soutiennent l'innovation durable, ce qui renforce l'engagement des consommateurs envers les produits durables. Même si on n'a pas de chiffres précis sur les préférences pour les matériaux recyclés, l'intérêt pour les innovations durables et les labels écologiques montre que les gens sont de plus en plus conscients de l'impact environnemental de leurs achats.
Les réseaux sociaux aident beaucoup à faire connaître les innovations greentech et les matériaux recyclés. Ils sensibilisent un large public aux avantages des produits durables et partagent des infos sur les nouvelles technologies. Les collaborations entre grandes entreprises et startups greentech, même si elles ne sont pas détaillées, aident aussi à promouvoir des produits durables.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Green Nation, Bpifrance
Vous avez du remarquer qu'il n'est pas toujours facile de savoir combien pèse réellement le marché de la greentech en France. Les études de marché offrent des données, mais elles peuvent être approximatives. Nous avons donc mené une analyse détaillée pour vous fournir une estimation plus fiable.
9) Le partage d'énergie renouvelable séduit les communautés locales en France
Les plateformes de partage d'énergie renouvelable entre voisins gagnent en popularité en France.
En 2023, le nombre de Greentech en France a atteint environ 2 750, ce qui montre un intérêt croissant pour les solutions vertes. Cette augmentation de 27% par rapport à l'année précédente a attiré des investissements importants, avec 2,4 milliards d'euros levés par les Greentech industrielles. Cela prouve que le secteur est en plein essor et qu'il a le potentiel de changer la façon dont l'énergie est produite et consommée localement.
Des initiatives comme Enercoop, une coopérative d'énergie renouvelable, montrent comment le partage d'énergie prend racine. Enercoop aide les particuliers à produire et partager de l'énergie verte, permettant aux voisins de s'approvisionner de manière plus durable. Même si on a moins d'informations sur d'autres plateformes comme Ilek, il est évident que ce type de projet se développe, renforçant l'idée que le partage d'énergie renouvelable est en plein essor.
Le gouvernement français soutient aussi cette dynamique. Bien que les détails sur les subventions spécifiques ne soient pas clairs, le cadre législatif encourage l'autoconsommation collective. Cela permet aux communautés de produire et partager leur propre énergie, réduisant leur dépendance aux grandes infrastructures et favorisant une transition énergétique plus locale.
Les technologies comme les compteurs intelligents et les solutions numériques facilitent le partage d'énergie. Elles simplifient la gestion et l'optimisation de l'énergie partagée, rendant le processus plus efficace et transparent. Cela le rend aussi plus attractif pour ceux qui veulent réduire leur impact environnemental.
Enfin, le partage d'énergie est intégré dans les plans régionaux de transition énergétique, soulignant son importance croissante. En l'incluant dans ces plans, les régions encouragent la production locale d'énergie renouvelable, ce qui réduit les émissions de carbone et renforce l'autonomie énergétique des communautés locales.
Sources : The Agility Effect, Leogrid, Bpifrance Presse, Green Nation, Bpifrance
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