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Que révèlent les derniers chiffres sur le marché de l'intelligence artificielle en France ? Les investissements dans la recherche et le développement augmentent-ils ? Quel est le taux moyen d'adoption de l'IA dans les entreprises en 2024 ? Quels secteurs affichent les meilleures performances en termes d'intégration de l'IA ?
Nous recevons ces questions en permanence, car nous suivons de près ce marché. Grâce à nos échanges avec des experts en IA, des consultants et des investisseurs, nous avons accès à des données précises sur l'évolution des technologies, des investissements et des tendances d'adoption.
Plutôt que de répondre individuellement, nous avons créé cet article pour partager les indicateurs clés du secteur : évolution des investissements en IA, taux d'adoption moyen par secteur, impact des nouvelles réglementations sur l'innovation.
Notre objectif est simple : vous fournir des données chiffrées fiables pour vous aider à prendre des décisions éclairées. Si vous pensez qu’un point mérite d’être approfondi, envoyez-nous vos suggestions.
1) 60 % des startups d’IA françaises se trouvent en Île-de-France, suivie par l’Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes
L'Île-de-France concentre environ 60 % des startups d'IA françaises, ce qui en fait le principal centre d'innovation dans ce domaine.
Cette région attire de nombreux entrepreneurs grâce à ses nombreux investisseurs, incubateurs et universités de renom. Par exemple, Station F, le plus grand campus de startups au monde, offre un écosystème dynamique qui soutient les jeunes entreprises technologiques. Cela crée un environnement propice pour le développement de l'intelligence artificielle.
En comparaison, les régions Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes ne représentent respectivement que 6,5 % et 6,1 % des startups françaises dans le domaine de l'IA. Cette différence s'explique par une densité moindre d'infrastructures de soutien et d'opportunités de financement. Cependant, ces régions ne sont pas inactives et participent aussi à l'essor de l'IA en France grâce à des pôles de compétitivité et des clusters technologiques.
Le dynamisme de l'Île-de-France se reflète également dans le nombre croissant de startups et d'emplois dans le secteur de l'IA. En 2025, la France compte environ 750 startups d'IA, avec une augmentation de 27 % par rapport à l'année précédente, et plus de 36 000 emplois créés. Cette croissance est soutenue par un marché de l'IA en pleine expansion, avec des prévisions atteignant 23,88 milliards USD d'ici 2030.
Le financement joue un rôle clé dans cette concentration de startups en Île-de-France. Les startups françaises ont levé près de 13 milliards d'euros depuis leur création, avec une majorité des levées de fonds se concentrant en série A. Cela montre l'attractivité de la région pour les investisseurs, qui y voient un environnement favorable à l'innovation.
Enfin, le soutien gouvernemental renforce encore la position de l'Île-de-France. Des initiatives comme le programme IA Booster France 2030 aident les PME à adopter l'IA, illustrant l'engagement de l'État à promouvoir ce secteur stratégique. La Stratégie Nationale pour l'Intelligence Artificielle, lancée en 2018, a également joué un rôle crucial en attirant les meilleurs talents et en renforçant la recherche.
Sources : France Digitale, All About AI, Blog du Modérateur, Ringover, Maddyness
2) La France comptera 750 startups en IA en 2025, soit +25 % depuis 2023
En 2025, la France compte environ 750 startups spécialisées en intelligence artificielle, ce qui représente une augmentation de 25 % par rapport à 2023.
Cette croissance est en grande partie due à un soutien financier important. En 2022, les entreprises françaises de l'IA avaient déjà levé plus de 3,2 milliards d'euros, ce qui a permis à ces startups de se développer et d'innover. Grâce à ces fonds, non seulement de nouvelles entreprises ont vu le jour, mais celles déjà existantes ont pu explorer de nouvelles applications de l'IA.
En parallèle, le marché de l'emploi dans ce secteur est en plein essor. En 2025, les startups françaises de l'IA représentent environ 36 000 emplois, et la majorité d'entre elles prévoient de recruter encore plus. Cela montre bien la vitalité de cet écosystème en France.
La France se positionne aussi comme le leader européen des startups en IA, dépassant l'Allemagne qui en compte 687. Ce leadership est le résultat d'une stratégie nationale ambitieuse pour promouvoir l'innovation et attirer les talents. Des entreprises comme PhotoRoom, Preligens, et XXII illustrent bien cette diversité et cette innovation dans le domaine de l'IA.
En somme, l'augmentation du nombre de startups en IA en France est le fruit d'un environnement favorable, soutenu par des investissements conséquents et une dynamique de l'emploi positive. La France, en tant que leader européen, continue d'attirer l'attention et les investissements du monde entier.
Sources : France Digitale, Entreprises.gouv.fr, EE Times, La Croix, Business France
Si vous voulez entreprendre sur le marché de l’intelligence artificielle, alors il faudra anticiper les prochains changements. Cette infographie vous offre un résumé.
3) La France capte 10 % des investissements européens en IA, derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni
La France attire 10 % des investissements européens en IA, se plaçant derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni.
En 2023, la France a attiré 17 projets liés à l'IA, avec un investissement total de 1,3 milliard d'euros. Ce chiffre montre que le marché français de l'IA est en pleine croissance. Le pays bénéficie d'un écosystème riche avec plus de 600 start-ups spécialisées dans l'IA, dont certaines sont devenues des licornes, c'est-à-dire des entreprises valorisées à plus d'un milliard de dollars.
Le gouvernement français a largement contribué à cette dynamique. En 2022, il a alloué 1,5 milliard d'euros en aides publiques pour soutenir les start-ups d'IA. De plus, le plan France 2030 prévoit un investissement total de 2,5 milliards d'euros pour l'IA, avec 560 millions d'euros dédiés à la recherche et à la formation. Ces efforts ont attiré des géants technologiques comme Uber, Meta, et Microsoft, qui ont choisi la France pour implanter ou renforcer leurs laboratoires d'IA.
Malgré ces succès, la France reste derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni en termes de pourcentage des investissements européens en IA. Cela s'explique par la taille et la maturité des marchés allemand et britannique, qui ont historiquement attiré plus d'investissements dans le secteur technologique. Cependant, la France se distingue par sa capacité à attirer des investissements étrangers, se positionnant comme le premier pays européen dans ce domaine.
Cette capacité est renforcée par la présence de start-ups innovantes comme Dataiku et Owkin, reconnues pour leurs contributions significatives à l'IA. Ces entreprises, en plus des incitations gouvernementales, font de la France un pays attractif pour les investissements en IA.
Sources : Business France, Ringover, Euronews, Entreprises.gouv.fr, Enseignement Supérieur et Recherche
4) Le gouvernement investit plus de 2 milliards d’euros en IA dans le cadre du Plan France 2030
Le gouvernement français investit massivement dans l'intelligence artificielle (IA) avec le Plan France 2030.
En 2025, le Plan France 2030 continue de démontrer l'engagement du gouvernement français à positionner le pays comme un leader mondial dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA). Ce plan a commencé en 2018 avec un financement initial de 1,85 milliard d'euros, utilisé pour créer des instituts d'IA, des chaires d'excellence, et le supercalculateur Jean Zay. Ces efforts ont permis de construire une base solide pour la recherche en IA en France.
La deuxième phase, de 2021 à 2025, se concentre sur l'intégration de l'IA dans l'économie française avec un budget de 1,5 milliard d'euros. Cela inclut le développement de l'IA embarquée, de confiance, frugale et générative. En combinant les deux phases, le total des fonds pour l'IA atteint environ 2,5 milliards d'euros, dont 560 millions d'euros spécifiquement pour la recherche et la formation.
Des initiatives concrètes montrent l'impact de ces investissements. Par exemple, le cluster MIAI à Grenoble a reçu 70 millions d'euros pour la recherche et la formation en IA. La France compte maintenant 81 laboratoires d'IA, attirant des entreprises comme Uber, Meta et Microsoft à renforcer leur présence en France.
Le soutien aux start-ups est aussi crucial. La France a 590 start-ups spécialisées en IA, dont 16 licornes, qui ont reçu des aides publiques. Ces entreprises sont essentielles pour l'innovation et la création d'emplois. Le plan prévoit aussi 2,1 milliards d'euros d'investissements par des acteurs privés et publics entre 2021 et 2025.
Sources : Entreprises.gouv.fr, Ringover, Business France, Entreprises.gouv.fr, Enseignementsup-recherche.gouv.fr
5) 80 % des demandeurs d’emploi ont utilisé l’IA pour leur recherche en 2025
En 2025, près de 80 % des demandeurs d'emploi en France ont utilisé l'intelligence artificielle pour chercher un travail.
Cette tendance a commencé à se dessiner en 2024, quand Konexio et Diversidays, avec France Travail, ont montré que 77 % des demandeurs d'emploi utilisaient déjà l'IA. Les gens ont vite compris que ces outils rendaient la recherche d'emploi plus simple et efficace. Par exemple, des plateformes comme Canva et ChatGPT aident à personnaliser les CV et lettres de motivation, ce qui les rend plus attractifs pour les recruteurs.
L'IA ne se contente pas d'améliorer les candidatures. Elle permet aussi d'accéder à plus d'offres d'emploi grâce à des recommandations automatiques et aide à se préparer aux entretiens avec des simulateurs. En 2023, le nombre d'offres d'emploi demandant des compétences en IA a bondi de 11 000 en 2018 à 77 000, poussant les demandeurs d'emploi à se former dans ce domaine. France Travail, avec Microsoft, prévoit de former 300 000 personnes à l'IA générative d'ici fin 2025.
Les jeunes de moins de 25 ans sont les plus nombreux à adopter ces technologies, avec 83 % d'entre eux les utilisant, tandis que les plus de 50 ans sont à 69 %. Les femmes, quant à elles, ont une légère avance sur les hommes dans l'utilisation de l'IA, ce qui montre une dynamique intéressante dans l'appropriation des technologies numériques.
En somme, l'IA a changé la façon dont les demandeurs d'emploi en France cherchent du travail, devenant un outil essentiel et ouvrant de nouvelles opportunités professionnelles.
Sources : PwC France, Le Monde Informatique, France Travail, Entreprises.gouv.fr, LearnThings
6) 65 % des startups françaises d’IA obtiennent des financements en phase de croissance (série A)
Environ 65 % des startups françaises d'IA ont réussi à obtenir des financements, principalement en phase de croissance (série A).
En 2024, le nombre de startups françaises dans le domaine de l'IA a atteint 751, ce qui montre un intérêt croissant pour ce secteur. Le secteur a levé près de 3 milliards d'euros en 2024, ce qui prouve que les investisseurs sont très attirés par ces technologies. Les startups françaises ont su capter ces investissements, ce qui est un signe positif pour le marché.
Les levées de fonds en série A sont cruciales car elles marquent le passage de la phase de démarrage à celle de la croissance. En France, les startups d'IA réussissent particulièrement bien à cette étape, ce qui montre la maturité de l'écosystème français. Cela attire des investisseurs de partout, ce qui est un bon signe pour l'avenir.
Des entreprises comme Dataiku, Algolia, et ContentSquare sont de bons exemples de cette réussite. Dataiku a levé des fonds significatifs, ce qui lui a permis de s'étendre à l'international. Algolia et ContentSquare ont suivi des chemins similaires, prouvant que les startups françaises savent utiliser les fonds pour croître rapidement.
Malgré ces succès, les startups françaises d'IA font face à des défis, notamment pour recruter et garder des talents spécialisés. Le Plan France 2030 est un soutien important pour aider ces entreprises à innover et à adopter l'IA, ce qui pourrait les aider à surmonter ces obstacles.
Sources : Siècle Digital, Siècle Digital, Entreprises.gouv.fr, Ringover, Bpifrance
7) Les startups françaises d’IA ont levé 13 milliards d’euros, dont 24 levées dépassant 100 millions d’euros
Les startups françaises d'IA ont levé plus de 13 milliards d'euros depuis leur création, avec 24 levées de fonds dépassant les 100 millions d'euros.
Cette réussite est due à plusieurs facteurs qui ont créé un environnement favorable à l'innovation. Par exemple, 65 % des startups françaises d'IA ont réussi à obtenir des financements, principalement en série A, ce qui montre la confiance des investisseurs. Un exemple marquant est Mistral AI, une startup fondée par d'anciens employés de DeepMind et Meta, qui a levé 600 millions d'euros en juin 2024. Cela prouve que les startups françaises peuvent attirer des investissements importants et rivaliser avec des géants comme OpenAI.
Les aides publiques ont aussi été cruciales. En 2022, les startups d'IA en France ont reçu 1,5 milliard d'euros d'aides publiques, ce qui a permis à beaucoup d'entre elles de se développer rapidement. Par exemple, Poolside, une startup d'IA générative, a levé 500 millions de dollars en octobre 2024 pour créer des modèles générant du code informatique, montrant l'impact positif des financements publics et privés.
Le marché mondial de l'IA est en pleine croissance, avec des prévisions atteignant 15 700 milliards de dollars d'ici 2030. Cette perspective attire les investisseurs vers les startups françaises, qui sont bien placées pour profiter de cette tendance. Environ 30 à 40 % des entreprises en France utilisent ou développent des solutions basées sur l'IA, ce qui montre une adoption croissante, même si elle est inférieure à celle de l'Amérique du Nord.
Sources : Blog du Modérateur, Entreprises.gouv.fr, Independant.io, Bpifrance, J'aime les Startups
8) 60 % des Français s'inquiètent du développement de l'IA mais en reconnaissent les avantages
Près de 60 % des Français se disent inquiets face au développement de l'IA, tout en reconnaissant ses avantages.
Cette inquiétude est bien illustrée par le fait que 51 % des Français expriment des inquiétudes spécifiques vis-à-vis des IA de type ChatGPT, alors que seulement 14 % se montrent enthousiastes et 35 % restent indifférents. Cela montre une certaine méfiance envers les capacités croissantes de l'IA, même si certains restent neutres ou positifs. En parallèle, environ 65 % des personnes interrogées pensent que les machines resteront sous contrôle humain, mais un tiers redoute que les machines prennent le dessus. Cette peur est souvent amplifiée par des scénarios dystopiques dans les médias.
Dans le secteur du service client, l'IA est utilisée pour rendre les réponses plus rapides et efficaces, ce qui est un avantage pour les entreprises. Cependant, cette automatisation inquiète certains, car elle pourrait entraîner la perte d'emplois humains et rendre les interactions moins humaines. Les consommateurs craignent que l'IA ne remplace les emplois traditionnels, ce qui pourrait avoir des conséquences économiques et sociales importantes.
Malgré ces préoccupations, le marché de l'IA en France continue de croître, avec des prévisions de dépassement de 17 milliards d'euros d'ici 2030. Cette croissance montre que l'IA est de plus en plus adoptée dans divers secteurs comme la santé, l'industrie et les services financiers. Les entreprises voient dans l'IA un moyen d'améliorer leurs décisions et d'optimiser leurs ressources.
Sources : LearnThings, All About AI, Tool Advisor
Pas facile de vraiment savoir combien vaut le marché de l’intelligence artificielle en France. Les études disponibles donnent parfois des chiffres, mais ils manquent souvent de clarté et de fiabilité. Nous essayons, avec cette infographie, de vous donner une estimation plus fiable et réaliste.
9) L’IA générative constitue 40 % des applications professionnelles en France
En 2025, l'IA générative représente environ 40 % des applications professionnelles développées en France.
Cette montée en puissance est en grande partie due à l'adoption massive par les petites et moyennes entreprises (PME) et les très petites entreprises (TPE). En 2023, une étude de Magellan Partners a révélé que 75 % des TPE et PME en France avaient déjà intégré l'IA générative dans leurs opérations. Ces entreprises, souvent limitées en ressources, utilisent l'IA pour optimiser leurs processus, notamment dans la recherche et la création de contenus.
Le soutien de l'État a également été crucial. En 2022, la France comptait 590 start-ups spécialisées dans l'IA, dont 16 licornes, bénéficiant d'un soutien significatif de l'État avec 1,5 milliard d'euros d'aides publiques. Des entreprises comme Dust et LightOn ont profité de ce soutien pour développer des solutions innovantes. Dust a créé des logiciels qui boostent la productivité des travailleurs du savoir, tandis que LightOn se concentre sur les grands modèles de langage, répondant aux besoins de confidentialité des entreprises.
Sur le plan mondial, le marché de l'IA est en pleine expansion, ce qui influence aussi la France. Avec des prévisions atteignant 740 milliards de dollars d'ici 2030, la France s'est positionnée comme un acteur clé en Europe. Cette dynamique pousse les entreprises françaises à investir dans l'IA générative pour rester compétitives. Même les grandes entreprises, souvent plus lentes à adopter ces technologies, commencent à s'y intéresser pour des applications complexes.
L'impact sur le marché du travail et la productivité est un autre facteur d'adoption. L'IA générative permet d'automatiser des tâches répétitives et de générer des insights précieux à partir de grandes quantités de données. Cela améliore la prise de décision et stimule l'innovation, des atouts majeurs pour les entreprises cherchant à accroître leur efficacité.
Sources : Magellan Partners, Entreprises.gouv.fr, France Num, Ringover, Cognizant
10) France Travail formera 300 000 demandeurs d’emploi aux outils d’IA générative d’ici fin 2025
France Travail prévoit de former plus de 300 000 demandeurs d'emploi aux outils d'IA générative d'ici fin 2025.
Cette initiative s'inscrit dans un contexte où l'intelligence artificielle est devenue essentielle pour trouver un emploi et être efficace au travail. Avec des partenaires comme Microsoft et la start-up Kokoroé, un programme de formation innovant appelé "Calendrier de l'IA" a été créé. Ce programme, qui dure 31 jours, utilise le micro-learning pour s'intégrer facilement dans le quotidien des participants. Il leur enseigne des compétences clés comme la rédaction de prompts, l'optimisation de CV et la préparation d'entretiens.
L'impact de l'IA sur le marché du travail en France est déjà visible. En 2023, une enquête de France Travail avec Google, Konexio et Diversidays a montré que 77 % des demandeurs d'emploi utilisaient l'IA pour améliorer leur recherche d'emploi. Ces outils aident à personnaliser les CV, à recommander des offres d'emploi pertinentes et à donner des conseils sur les entretiens via des chatbots. Cela montre l'importance de continuer à se former dans ce domaine pour maximiser ses chances de succès.
Le dynamisme de l'écosystème de l'IA en France a aussi été crucial pour ce programme. En 2022, la France comptait 590 start-ups spécialisées dans l'IA, dont 16 licornes, et ces entreprises ont levé plus de 3,2 milliards d'euros. Ce soutien a créé un environnement favorable à l'innovation, facilitant l'intégration de l'IA dans divers secteurs, y compris l'emploi. L'engagement de ces start-ups et grandes entreprises technologiques a permis de proposer des solutions d'IA accessibles et efficaces aux demandeurs d'emploi.
En plus de la recherche d'emploi, l'IA a un impact sur le travail lui-même. Une étude récente a montré que 46 % des demandeurs d'emploi qui ont utilisé des solutions d'IA les ont trouvées efficaces. De plus, on estime qu'environ 27 % des tâches des salariés français pourraient être confiées à l'IA d'ici 2030. Cela souligne l'importance de former les travailleurs aux compétences liées à l'IA pour améliorer leur employabilité et les préparer à un avenir où l'IA jouera un rôle central.
Sources : RH Matin, Entreprises.gouv.fr, France Travail, Le Monde Informatique, RH Matin
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