Et si vous vous lanciez sur le marché du vin?

Nous avons des ressources adaptées à ce marché.

9 chiffres pour le marché du vin en 2025

Cet article a été écrit par un expert qui a conçu les business plans propres à cette industrie

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Nous avons plein de ressources à vous proposer pour votre projet d'entreprise

Que révèlent les derniers chiffres sur le marché du vin en France ? Les coûts de production et de distribution augmentent-ils ? Quel est le taux moyen de marge brute des producteurs de vin en 2024 ? Quels types de vins affichent les meilleures performances en termes de rentabilité ?

Nous recevons ces questions en permanence, car nous suivons de près ce marché. Grâce à nos échanges avec des vignerons, des sommeliers et des investisseurs, nous avons accès à des données précises sur l’évolution des prix, des marges et des tendances de consommation.

Plutôt que de répondre individuellement, nous avons créé cet article pour partager les indicateurs clés du secteur : évolution des prix des raisins, taux de consommation moyen par type de vin, impact des nouvelles réglementations sur les marges.

Notre objectif est simple : vous fournir des données chiffrées fiables pour vous aider à prendre des décisions éclairées. Si vous pensez qu’un point mérite d’être approfondi, envoyez-nous vos suggestions.

Qui est l'auteur de ce contenu ?

L'équipe de Modeles de Business Plan

Une équipe de financiers, consultants et rédacteurs

Nous sommes une équipe d’experts en finance, de consultants, d’analystes de marché et de rédacteurs spécialisés, dédiés à accompagner les nouveaux entrepreneurs dans la création de leur entreprise. Nous vous aidons à éviter les erreurs en vous fournissant des business plans détaillés, des études de marché précises et des prévisions financières fiables, pour maximiser vos chances de succès dès le départ, et en particulier sur le marché du vin. Si vous voulez en savoir plus sur nous, vous pouvez consulter notre page de présentation.

Comment nous avons créé ce contenu 🔎📝

Chez Modeles de Business Plan, nous sommes assez familiers avec le marché du vin en France, nous analysons quotidiennement les tendances et dynamiques du marché. Nous ne nous contentons pas de rapports et d’analyses ; nous échangeons chaque jour avec des experts locaux – entrepreneurs, investisseurs et acteurs clés du secteur. Ces interactions directes nous permettent de mieux comprendre ce qu'il se passe sur le marché.

Pour créer ce contenu, on a d’abord puisé dans nos échanges et nos propres observations. Mais on ne s’est pas arrêtés là. Pour s’assurer que nos chiffres soient fiables, on a aussi creusé du côté de sources sérieuses et reconnues comme DRAAF Occitanie, FranceAgriMer, et FEVS (pour ne citer qu'elles).

On ne partage que des chiffres qu'on peut prouver avec des sources fiables, du contexte solide et des infos claires.

Si les données manquent de crédibilité ou de contexte, on les laisse de côté. Pas question de vous donner des chiffres au hasard sans fondement. Notre but ici est de vous offrir une analyse complète et fiable du marché de la restauration, pas juste une avalanche de statistiques.

Toutes nos sources sont indiquées en toute transparence, pour que vous puissiez les explorer par vous-même.

On utilise aussi un peu d’IA, mais uniquement pour la rédaction. Cela nous aide à rendre les explications plus claires et fluides. La lecture est alors plus agréable pour vous.

Vous verrez aussi des infographies sur mesure qui résument et mettent en image les tendances clés, rendant les infos complexes plus digestes et percutantes. On espère qu’elles vous plairont ! Toutes les autres illustrations ont été créées en interne et ajoutées à la main.

Si vous pensez que nous aurions pu creuser certains points, n’hésitez pas à nous le faire savoir, nous vous répondrons sous 24 heures.

1) Le Languedoc-Roussillon produit 1 bouteille de vin français sur 3, surpassant la Bourgogne en volume

En 2025, le Languedoc-Roussillon produit une bouteille de vin sur trois en France, dépassant ainsi la Bourgogne en volume.

Le Languedoc-Roussillon est immense, avec plus de 184 000 hectares dédiés à la vigne et plus de 14 100 exploitations viticoles. Cela représente environ 21 % des volumes de vins produits en France entre 2016 et 2020. Cette vaste superficie permet à la région de produire beaucoup plus de vin que la Bourgogne, qui ne compte que 25 000 hectares d'AOC.

En termes de chiffres, le Languedoc-Roussillon produit chaque année 1,7 million d'hectolitres pour les AOC et près de 9 millions d'hectolitres en incluant les IGP. Ces volumes sont bien supérieurs à ceux de la Bourgogne, ce qui explique pourquoi le Languedoc-Roussillon est devenu un acteur majeur de la viticulture française.

La diversité des cépages et des appellations est un autre atout du Languedoc-Roussillon. Avec 23 AOC et 9 appellations du Roussillon, la région offre une large gamme de vins qui plaisent à différents marchés et consommateurs. Cette variété permet de répondre à une demande croissante, tant en France qu'à l'international.

En plus de sa production massive, le Languedoc-Roussillon est aussi le leader en vins bio en France. Cette approche écologique attire de nombreux consommateurs soucieux de l'environnement. L'engagement envers le bio, combiné à une production élevée, renforce la position dominante de la région sur le marché du vin français.

Sources : DRAAF Occitanie, Statista, DRAAF Occitanie PDF, iDealwine

2) La Bourgogne produit 2 % du vin français mais en représente 15 % de la valeur totale

La Bourgogne ne produit que 2 % du vin français, mais elle représente 15 % de la valeur totale du marché.

Cette région est connue pour la qualité exceptionnelle de ses vins, ce qui lui permet de se démarquer malgré sa petite production. En 2023, la Bourgogne a produit environ 3 % du vin français, mais sa réputation mondiale pour des vins de haute qualité lui permet de vendre à des prix bien plus élevés que d'autres régions. Par exemple, les vins de la Côte de Nuits, célèbres pour leurs Pinot Noir, sont parmi les plus chers au monde.

Le chiffre d'affaires des vins de Bourgogne est impressionnant, atteignant environ 2,3 milliards d'euros. Une grande partie de cette valeur provient des exportations, qui représentent 50 % des ventes. Les principaux marchés incluent les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Belgique et le Japon, où les consommateurs sont prêts à payer pour des vins de qualité supérieure.

Les appellations prestigieuses comme Chablis, Côte de Nuits, et Côte de Beaune contribuent à cette valeur économique. Ces noms sont synonymes de qualité et justifient des prix élevés. La stratégie de la Bourgogne est claire : privilégier la qualité sur la quantité. Les producteurs se concentrent sur des rendements faibles pour garantir la meilleure qualité possible, ce qui se traduit par des vins vendus à des prix premium.

En se concentrant sur la qualité et en exploitant des marchés internationaux, la Bourgogne maximise sa valeur économique. Cette approche contraste avec d'autres régions qui misent sur des volumes plus élevés au détriment de la qualité. C'est ainsi que, malgré une production modeste, la Bourgogne parvient à avoir un impact économique majeur sur le marché viticole français.

Sources : Agribourgogne, Wikipedia, Info Beaune, Vins de Bourgogne

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3) Le Champagne constitue 8 % des volumes exportés et 33 % de la valeur totale

Le champagne ne représente que 8 % des volumes exportés, mais il compte pour 33 % de la valeur totale des exportations de vins et spiritueux français.

Cette différence entre volume et valeur s'explique par le fait que le champagne est considéré comme un produit de luxe. En 2023, les exportations de champagne ont atteint environ 13 698 000 caisses, ce qui est une baisse de 11,2 % par rapport à l'année précédente. Pourtant, en termes de valeur, ces exportations ont généré 4 190 millions d'euros, avec seulement une légère baisse de 0,6 %. Cela montre que même si moins de champagne est vendu, son prix élevé maintient sa valeur totale.

Le marché du champagne est influencé par sa réputation de produit de luxe, ce qui justifie son prix élevé. Les États-Unis et le Royaume-Uni sont des marchés clés où la demande pour des produits de luxe est forte. Ces pays importent beaucoup de champagne, ce qui aide à garder les prix élevés, même si les volumes baissent. Par exemple, en 2022, même avec moins de bouteilles exportées, la hausse des prix a permis d'augmenter la valeur totale des exportations de vins et spiritueux.

L'inflation en 2023 a aussi influencé la consommation, réduisant les volumes exportés. Cependant, la valeur des exportations de champagne est restée stable grâce à ses prix élevés. Cela montre que le champagne peut résister aux pressions économiques grâce à sa position de luxe. D'autres vins et spiritueux, qui n'ont pas le même prestige, ont vu leur valeur baisser plus fortement à cause de la baisse des volumes et de l'incapacité à ajuster les prix de la même manière.

Sources : FEVS, La Revue du Vin de France, Vitisphere

4) Les domaines viticoles ont diminué de 15 % depuis 2000, mais leur taille a doublé

Depuis 2000, le nombre de domaines viticoles en France a diminué de 15 %, mais leur taille moyenne a doublé.

Entre 2000 et 2020, le nombre d'entreprises viticoles en France a chuté de 41 %, passant de 88 707 à 52 330. Cela montre une concentration dans le secteur, où les petites exploitations disparaissent ou sont absorbées par des plus grandes. Cette tendance est particulièrement visible dans certaines régions comme les Pays de la Loire.

Les petites exploitations ont du mal à survivre à cause de la pression sur les prix et les coûts de production. Elles ferment ou sont rachetées par des plus grandes qui cherchent à faire des économies d'échelle. Dans le Grand Est, la baisse du nombre de domaines a été moins marquée, probablement à cause de conditions économiques différentes.

Cette transformation a aussi un impact sur l'emploi. En 2019, environ 130 000 vignerons étaient actifs, mais le nombre de travailleurs non-salariés a diminué. Cela montre une professionnalisation et une mécanisation des grandes exploitations, soutenues par des initiatives comme celles de FranceAgriMer pour renforcer la compétitivité du secteur.

Sources : Wikipedia, Wein Plus Magazine, FranceAgriMer

5) Les vignobles certifiés HVE couvrent 25 % des surfaces, doublant depuis 2020

La certification Haute Valeur Environnementale (HVE) a pris une place importante dans le secteur viticole français ces dernières années.

En 2025, les vignobles certifiés HVE couvrent 25 % des surfaces, ce qui représente un doublement depuis 2020. Cette progression est soutenue par plusieurs tendances et exemples concrets. La certification HVE, issue du Grenelle de l'Environnement, encourage des pratiques agricoles respectueuses de l'environnement. En 2019, environ 1 400 vignobles étaient certifiés HVE, montrant déjà un intérêt croissant. En 2020, le nombre d'exploitations agricoles certifiées HVE en France avait atteint 5 399, avec une forte concentration dans la région de Champagne.

En 2022, 23 % des domaines viticoles français étaient certifiés HVE, illustrant une progression continue. Cette tendance est particulièrement visible dans la région des Vins de Loire, où les surfaces certifiées HVE ont plus que quadruplé entre 2019 et 2023. Cette croissance rapide dans une région viticole clé montre l'engouement pour la certification HVE.

Un exemple concret est l'union de vignerons Plaimont, située dans le Sud-Ouest de la France. En 2021, Plaimont avait déjà certifié 2 140 hectares de vignes HVE, avec un plan pour certifier 1 500 hectares supplémentaires au niveau HVE 3. Cet engagement massif souligne l'importance croissante de la certification HVE.

La popularité des vins bio et des certifications environnementales, comme HVE et Terra Vitis, a aussi contribué à cette tendance. En 2023, 85 % des surfaces et 73 % des domaines viticoles des Vins de Loire étaient engagés en agriculture biologique ou en certification environnementale. Cette convergence vers des pratiques durables montre que le marché du vin évolue vers une plus grande responsabilité environnementale.

Sources : Techniloire, ENSV-FVI, Chambres d'Agriculture - Vignoble Champenois, Agro Media, Ministère de l'Agriculture

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6) La consommation par habitant reste à 40 litres/an, mais les budgets ont augmenté de 20 % en 5 ans

La consommation de vin en France a beaucoup changé ces dernières années.

Autrefois, les Français buvaient énormément de vin, atteignant 128 litres par habitant en 1960, mais aujourd'hui, ce chiffre a beaucoup baissé. En 2018, la consommation était d'environ 36 litres par habitant, et les prévisions pour 2024 indiquaient une baisse à 22,5 litres par habitant. Les gens préfèrent maintenant boire moins mais mieux, en choisissant des vins de meilleure qualité. Cela montre un changement dans la société où la santé et le bien-être sont devenus plus importants.

En parallèle, même si les Français boivent moins de vin, ils dépensent plus pour des vins de qualité. Entre 2014 et 2020, la consommation de vins à moins de 6 euros a diminué de moitié, tandis que celle des vins à plus de 15 euros a augmenté. Cela signifie que les gens sont prêts à payer plus pour de bons vins. On voit aussi un intérêt croissant pour les vins biologiques et des alternatives comme le Crémant, qui répondent aux nouvelles attentes en matière de durabilité et d'authenticité.

Cette tendance pousse les magasins et restaurants à offrir une gamme plus variée et raffinée de vins. Les consommateurs veulent savoir d'où vient le vin et comment il est fait, ce qui incite les producteurs à innover. L'industrie viticole française s'adapte en mettant l'accent sur la production biologique et en diversifiant ses offres pour satisfaire les goûts changeants des consommateurs.

Bien que les chiffres précis ne confirment pas une augmentation de 20 % des budgets d'achat, le fait que les gens achètent des vins plus chers et de meilleure qualité suggère que les dépenses globales pour le vin ont augmenté. Cela montre que même si la consommation moyenne par habitant reste autour de 40 litres par an, les gens dépensent plus pour privilégier la qualité.

Sources : Embaucherapide, Statista - Industrie du Vin en France, Statista - Consommation de Vin en France, Vitisphere, Vin et Société

7) Les exportations de vin français ont baissé de 10 % en volume en 2024, mais valent toujours plus de 12 milliards d'euros

En 2024, les exportations de vin français ont chuté de près de 10 % en volume, mais leur valeur reste impressionnante.

Au début de l'année, il y a eu une petite reprise avec une hausse de 1 % en volume, mais cela n'a pas suffi à compenser la baisse plus importante sur le long terme. Entre août 2023 et avril 2024, les exportations ont diminué de 8 % en volume, montrant une tendance à la baisse qui persiste. Malgré cela, la valeur des exportations a tenu bon, atteignant 3,56 milliards d'euros sur les premiers mois de 2024.

Cette résilience en valeur s'explique par de bonnes performances sur certains marchés clés. Par exemple, les exportations vers les États-Unis ont augmenté de 3 % en volume, et le Royaume-Uni et la Chine ont enregistré des hausses de 4 % et 10 % respectivement. Ces pays, qui apprécient les vins de qualité, ont aidé à maintenir une valeur élevée des exportations, même si le volume total a baissé.

En revanche, certains segments comme les vins effervescents, notamment le Champagne, ont vu leurs ventes chuter, ce qui a affecté la valeur totale des exportations. Cette baisse est en partie due à des facteurs économiques comme l'inflation et un changement dans les préférences des consommateurs, qui optent pour des choix plus occasionnels et moins coûteux. De plus, des marchés traditionnels comme l'Union européenne et le Japon ont enregistré des baisses de 1 % et 14 % en volume, contribuant à la diminution globale.

Malgré ces défis, le vin français reste un acteur majeur de l'économie, avec une estimation globale de 30 milliards d'euros. Les producteurs français s'adaptent aux nouvelles tendances et diversifient leurs marchés, ce qui permet de maintenir la valeur globale des exportations à un niveau élevé.

Sources : FranceAgriMer, Businesscoot, Wein Plus Magazine, iDealwine, Apasec

8) 30 % des consommateurs français préfèrent les vins faiblement alcoolisés, une tendance doublant tous les 3 ans

Les vins à faible teneur en alcool séduisent de plus en plus de consommateurs en France.

Plus de 30 % des consommateurs français privilégient désormais ces vins, et cette tendance double tous les trois ans. Cela s'explique par une augmentation annuelle de 13 % de la consommation de ces vins, comparée à seulement 1 % pour les vins classiques. Les gens recherchent des boissons plus légères, souvent perçues comme plus saines.

Ce changement s'inscrit dans une tendance plus large de réduction de la consommation d'alcool en France. En 2022, 19 % des Français ne consommaient pas d'alcool, une hausse par rapport à 2015. Les jeunes générations, en particulier, préfèrent des alternatives moins alcoolisées, motivées par des préoccupations de santé et de bien-être.

L'industrie viticole française s'adapte à ces nouvelles attentes. Des marques comme Festillant de Gratien Meyer proposent des vins sans alcool pour répondre à cette demande. Les producteurs français, en diversifiant leur offre avec des vins bio, parviennent à séduire une clientèle soucieuse de la qualité et de l'impact de leur consommation.

Malgré tout, les vins désalcoolisés ne sont pas aussi populaires que d'autres boissons sans alcool, comme les bières. En 2023, la consommation de boissons no-low a légèrement baissé, mais ces produits continuent d'attirer certains consommateurs. Cela montre un marché en pleine évolution, avec des préférences qui se diversifient constamment.

Sources : Plein Champ, Statista, La Revue du vin de France, La Plateforme des Vignerons, Techniloire

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9) 10 % des bouteilles vendues en France sont importées, surtout d'Espagne et d'Italie

En France, 1 bouteille de vin sur 10 vendue vient maintenant de l'étranger, surtout d'Espagne et d'Italie.

La France, bien connue pour ses vins, importe aussi beaucoup, notamment en vrac. En 2023, elle a importé environ 3,1 millions d'hectolitres de vin, dont 1,9 million d'hectolitres provenaient d'Espagne. Même si ces importations espagnoles ont légèrement baissé de 6 % par rapport à 2022, l'Espagne reste le principal fournisseur. L'Italie, avec des vins comme le Prosecco, est aussi un acteur clé.

En parallèle, la France exporte beaucoup de vin. En 2023, les exportations ont atteint 11,3 milliards d'euros, même si le volume a baissé de 9,4 % par rapport à l'année précédente. Cela montre que même si la France produit beaucoup de vin, une grande partie est destinée à l'étranger, laissant de la place pour les vins importés sur le marché local.

Les vins français, italiens et espagnols sont très populaires dans le monde entier. Cette tendance se retrouve en France, où les consommateurs aiment de plus en plus les vins étrangers. Les vins importés, souvent en vrac, sont embouteillés localement ou utilisés dans des mélanges, offrant ainsi une variété à des prix compétitifs.

Sources : Vitisphere, Paris Wine Cup, FEVS, Agro Media

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