Cet article a été écrit par un expert qui a étudié l’industrie et a confectionné le business plan pour une auto-école

Nous avons plein de ressources à vous proposer pour votre projet d'entreprise
Que révèlent les derniers chiffres sur le marché des auto-écoles en France ? Les coûts de formation et d'entretien des véhicules augmentent-ils ? Quel est le taux moyen de réussite au permis de conduire en 2024 ? Quels types d'établissements affichent les meilleures performances en termes de satisfaction des élèves ?
Nous recevons ces questions en permanence, car nous suivons de près ce marché. Grâce à nos échanges avec des instructeurs, des consultants et des investisseurs, nous avons accès à des données précises sur l'évolution des prix, des taux de réussite et des tendances de formation.
Plutôt que de répondre individuellement, nous avons créé cet article pour partager les indicateurs clés du secteur : évolution des coûts de formation, taux de réussite moyen par type d'auto-école, impact des nouvelles réglementations sur les marges.
Notre objectif est simple : vous fournir des données chiffrées fiables pour vous aider à prendre des décisions éclairées. Si vous pensez qu’un point mérite d’être approfondi, envoyez-nous vos suggestions.

1) Le permis de conduire coûte en moyenne 1 500 € en 2025, avec 40 % d'écart entre écoles traditionnelles et plateformes digitales
En 2025, le coût moyen du permis de conduire en France est d'environ 1 500 €, mais il y a de grandes différences entre les auto-écoles traditionnelles et les plateformes en ligne.
Les auto-écoles traditionnelles ont des coûts fixes élevés, comme le loyer et l'entretien des voitures, ce qui les oblige à facturer plus cher. Par exemple, dans des villes comme Paris, le coût peut atteindre jusqu'à 2 143 € dans certaines écoles traditionnelles. En revanche, les plateformes en ligne, comme Lepermislibre.fr, proposent des forfaits à partir de 759 €, car elles ont moins de frais généraux.
Depuis la libéralisation du secteur en 2015, de nombreux acteurs en ligne ont émergé, augmentant la concurrence et rendant les prix plus compétitifs. Cette concurrence pousse les auto-écoles traditionnelles à revoir leurs modèles économiques, mais elles ont du mal à rivaliser avec les prix attractifs des plateformes digitales. En 2025, cette dynamique continue, avec les plateformes en ligne qui captent une part croissante du marché.
Les études de marché récentes montrent que le chiffre d'affaires moyen d'une auto-école est de 100 000 €, avec un coût moyen pour un permis classique de 1 204 € pour 20 heures de conduite. Ces chiffres illustrent la pression économique sur les auto-écoles traditionnelles, qui doivent maintenir des prix élevés pour rester viables.
En résumé, les plateformes en ligne offrent généralement des tarifs plus bas que les écoles traditionnelles, ce qui explique des écarts de prix significatifs pouvant atteindre jusqu'à 40 %.
Sources : CQFD Communication, Propulse by CA, BFMTV, DatoCMS
2) La digitalisation réduit le délai d'examen pratique à moins de 45 jours
La digitalisation a transformé le secteur des auto-écoles en France, réduisant le délai pour obtenir une date d'examen pratique à moins de 45 jours.
Le gouvernement a fixé un objectif de 45 jours pour les délais d'attente, ce qui a poussé à des changements importants. Par exemple, l'externalisation des épreuves théoriques à des opérateurs privés comme La Poste depuis 2016 a permis de libérer des ressources pour les examens pratiques. Grâce à cela, le temps d'attente moyen est tombé à environ 38 jours, soit environ 5 semaines et demie, selon une étude récente. Dans certaines régions, où les délais pouvaient atteindre trois mois, cette réduction est particulièrement notable.
La libéralisation du marché en 2015 a permis à de nouveaux acteurs en ligne, tels qu'Ornikar et En Voiture Simone, d'émerger. Ces plateformes ont introduit des formations à des prix compétitifs et ont optimisé les inscriptions avec des outils numériques. Cela a permis une gestion plus efficace des plannings, réduisant ainsi les délais d'attente pour les candidats.
Les auto-écoles traditionnelles ont dû s'adapter pour rester compétitives. Elles ont investi dans des équipements modernes et diversifié leur offre. L'adoption de labels comme "École conduite qualité" leur a permis de se démarquer, en offrant des avantages comme des formations post-permis et des options de financement attractives pour les jeunes conducteurs.
Les politiques publiques ont aussi encouragé des alternatives comme la conduite accompagnée, qui a un taux de réussite élevé et coûte moins cher. Bien que cela puisse affecter la rentabilité des auto-écoles, cela aide à réduire la pression sur les plannings d'examen pratique, permettant une meilleure répartition des ressources et une diminution des délais d'attente.
Sources : Pedagomi, DatoCMS, Capital, Propulse by CA

Il est difficile de connaître précisément le poids du marché des auto-écoles en France. Les chiffres disponibles dans les études ne sont pas toujours fiables. Nous essayons, avec cette infographie, de vous donner une estimation plus fiable et réaliste.
3) 1,3 million de candidats passent le permis chaque année, en hausse continue depuis 2024
Depuis 2024, plus de 1,3 million de personnes passent le permis de conduire chaque année en France.
Cette augmentation continue est soutenue par des chiffres récents. En 2022, environ 1,3 million de personnes se sont inscrites pour passer le permis, et ce nombre a grimpé de 8,8 % en 2023, atteignant 1 370 994 candidats. Un des facteurs clés de cette hausse est l'abaissement de l'âge minimum pour passer le permis à 17 ans, ce qui permet à plus de jeunes de s'inscrire plus tôt.
Avec plus de candidats, le secteur des auto-écoles évolue aussi. En 2021, le marché générait déjà 2,069 milliards d'euros, et il continue de croître. Les auto-écoles traditionnelles font face à une concurrence accrue des plateformes en ligne, qui offrent des formations plus flexibles et accessibles. Ces nouvelles options séduisent particulièrement les jeunes, pour qui le permis est crucial pour l'indépendance et l'emploi.
Malgré cette hausse de candidats, les taux de réussite aux examens baissent. En 2023, le taux de réussite à l'épreuve théorique est tombé à 53,4 %, et celui de l'épreuve pratique du permis B à 55,9 %. Cette baisse s'explique par la complexité croissante des examens et le stress des candidats. Pour contrer cela, les auto-écoles modernisent leurs méthodes d'enseignement, intégrant des technologies pour rendre l'apprentissage plus engageant.
Sources : Auto Plus, Propulse by CA, Côtes d'Armor - Gouvernement, Businesscoot
4) Le taux de réussite au permis de conduire reste à 59 %, avec des variations régionales de 30 % à 80 %
Le taux de réussite moyen au permis de conduire en France est d'environ 59 %, mais il varie beaucoup selon les régions.
Par exemple, en 2023, la Lozère avait un taux de réussite de 72 %, alors que la Guadeloupe n'atteignait que 38 %. Ces différences montrent que les conditions locales influencent fortement les résultats des candidats. Dans les régions moins peuplées comme la Bretagne et la Corse, les taux de réussite sont souvent plus élevés. Cela pourrait être dû à une pression moindre sur les infrastructures d'examen et à une plus grande disponibilité des créneaux de passage, ce qui rend l'examen moins stressant.
En revanche, dans les zones urbaines denses comme l'Ile-de-France, et plus précisément le Val-de-Marne avec un taux de réussite de 43,1 %, les candidats font face à des délais d'attente plus longs et à une concurrence accrue pour les places d'examen. Cela peut affecter leur préparation et leur performance. Un autre élément qui joue un rôle est le type de formation suivi. Ceux qui choisissent la conduite accompagnée (AAC) réussissent mieux, avec un taux de 74,7 % en 2023, mais seulement 16,7 % des candidats optent pour cette méthode.
Le choix de l'auto-école est aussi crucial. Certaines écoles exagèrent leurs taux de réussite pour attirer plus d'élèves, donc il est important de bien choisir en fonction de la réputation, de la localisation et du nombre d'élèves par moniteur. Ces facteurs, combinés aux différences régionales, expliquent pourquoi le taux de réussite au permis de conduire en France est si variable.
Sources : BFMTV, Codeclic, En Voiture Simone, Permis à Points, Saneer SR
5) En 2025, 80 % des inscriptions aux auto-écoles passent par des téléprocédures, contre 30 % avant la crise sanitaire
En 2025, 80 % des inscriptions aux auto-écoles en France se font via des téléprocédures, contre 30 % avant la crise sanitaire.
Avant la pandémie, les auto-écoles traditionnelles étaient largement dominantes, mais la crise a accéléré l'adoption des solutions numériques. Les plateformes en ligne comme Ornikar et Le Permis Libre ont su s'adapter en proposant des services flexibles et abordables, attirant ainsi une clientèle connectée et en quête de praticité. Cette numérisation a particulièrement transformé la formation théorique, permettant aux élèves de suivre des cours à distance à leur rythme.
Les innovations technologiques ont également joué un rôle clé. L'automatisation des inscriptions et l'utilisation de la réalité virtuelle pour la formation pratique ont rendu l'apprentissage plus immersif et efficace. Ces technologies ont simplifié les démarches administratives, rendant les téléprocédures plus attrayantes. De plus, les réformes législatives récentes ont poussé les auto-écoles à moderniser leurs méthodes pour se conformer aux nouvelles normes.
Les comportements des consommateurs ont aussi évolué. La pandémie a changé leurs attentes, les orientant vers des solutions rapides et sécurisées. Les téléprocédures répondent parfaitement à ces besoins, offrant une alternative pratique aux démarches traditionnelles souvent jugées fastidieuses.
Sources : Codes Rousseau, DatoCMS, Propulse by CA

6) 60 % des auto-écoles françaises utilisent simulateurs ou réalité virtuelle pour réduire les heures de formation
Près de 60 % des auto-écoles françaises utilisent des simulateurs de conduite ou la réalité virtuelle pour réduire le nombre d’heures nécessaires à la formation.
En 2019, un arrêté a permis d'intégrer jusqu'à 10 heures de simulateur dans les 20 heures de formation pour le permis B, ce qui a facilité l'adoption de ces technologies. Les simulateurs offrent un environnement sécurisé pour les débutants, réduisant les risques liés à la conduite réelle. Cela permet aux auto-écoles de proposer des formations plus flexibles et potentiellement moins coûteuses.
Le marché des auto-écoles en France est dominé par des structures traditionnelles, mais les plateformes en ligne, qui représentent 20 % du secteur, adoptent rapidement ces innovations pour attirer une clientèle plus jeune. Ces plateformes sont souvent à la pointe de l'intégration de technologies comme les simulateurs et la réalité virtuelle.
En 2021, le chiffre d'affaires global du secteur était de 2,069 milliards d'euros, soulignant l'importance économique de la formation à la conduite en France. Dans ce contexte, les auto-écoles cherchent à se démarquer en modernisant l'apprentissage avec des outils comme les simulateurs et la réalité virtuelle, rendant la formation plus accessible et potentiellement moins coûteuse.
Bien qu'il n'y ait pas de rapports précis sur l'adoption de ces technologies, l'intérêt pour ces outils est évident. Les simulateurs permettent de pratiquer dans des conditions variées et sécurisées, tandis que la réalité virtuelle aide à enseigner des concepts théoriques de manière interactive, améliorant ainsi la compréhension des élèves.
Sources : Codes Rousseau, DatoCMS, Tribune Auto-Écoles, Que Choisir
7) Les subventions publiques financent jusqu’à 500 € du permis pour les demandeurs d’emploi
En 2025, le soutien financier pour obtenir le permis de conduire est devenu essentiel pour les demandeurs d'emploi en France.
Les subventions publiques peuvent couvrir jusqu'à 500 € du coût du permis, bien que ce chiffre précis ne soit pas toujours mentionné. En réalité, l'aide peut atteindre 1 200 € si l'absence de permis est un frein à l'embauche. Pôle Emploi et France Travail gèrent principalement cette aide, qui est versée directement aux auto-écoles en trois fois. Cela montre l'engagement des pouvoirs publics à faciliter l'accès à l'emploi en réduisant les obstacles financiers liés au permis.
Le marché des auto-écoles a changé pour s'adapter à ces nouvelles aides. Depuis 2015, avec la libéralisation du secteur, des acteurs en ligne comme Ornikar et En Voiture Simone ont émergé, proposant des formations à des prix plus bas. Cette concurrence a fait baisser les coûts, rendant le permis plus accessible, même sans subvention. Par exemple, un permis classique avec 20 heures de conduite coûte environ 1 204 €, mais cela peut varier selon la région. La conduite accompagnée, qui coûte environ 500 € de moins, est une option intéressante pour les demandeurs d'emploi.
Ces aides sont particulièrement utiles pour ceux vivant dans des zones mal desservies par les transports en commun ou cherchant des emplois nécessitant un permis. Par exemple, pour un poste de commercial, le permis est souvent indispensable, et l'aide financière peut vraiment améliorer les chances d'embauche. Cependant, ces aides ne sont accordées qu'une fois par personne, ce qui pousse les bénéficiaires à bien planifier leur formation.
Les auto-écoles doivent aussi innover pour rester compétitives. Avec la réduction des délais d'attente pour les examens et l'externalisation des épreuves théoriques, elles doivent s'adapter pour répondre aux besoins des apprenants. Cette adaptation est cruciale pour que les aides financières, comme celles de Pôle Emploi et France Travail, soient utilisées efficacement et aident vraiment à l'insertion professionnelle.
Sources : Aide Sociale, Propulse by CA, France Travail, DatoCMS
8) 38 % des moniteurs ont plus de 55 ans, accentuant la pénurie de main-d’œuvre qualifiée
Le secteur des auto-écoles en France est en difficulté à cause du vieillissement de ses moniteurs.
Avec 38 % des moniteurs âgés de plus de 55 ans, il est clair que beaucoup approchent de la retraite, ce qui pourrait aggraver la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Cette situation est d'autant plus préoccupante que la moyenne d'âge des moniteurs est déjà de 48 ans. Cela signifie que le secteur est largement composé de professionnels plus âgés, ce qui pose un risque imminent de pénurie de main-d'œuvre qualifiée à mesure que ces moniteurs approchent de la retraite.
La croissance rapide du secteur, marquée par une augmentation de 38 % du nombre d'écoles en dix ans, a intensifié ce problème. Cette expansion est due à la libéralisation du marché et à l'émergence de plateformes en ligne, ce qui a créé une demande accrue pour des moniteurs qualifiés. Cependant, le nombre de nouveaux entrants dans la profession n'a pas suivi, créant une tension sur le marché du travail. Les auto-écoles traditionnelles, qui représentent encore 80 % du marché, ressentent particulièrement cette pression, car elles doivent rivaliser avec les plateformes en ligne qui offrent des conditions de travail souvent plus flexibles et des tarifs plus compétitifs.
Les changements réglementaires et la diversification des activités, comme les formations post-permis et les stages de sécurité, ajoutent à la complexité du métier. Ces évolutions nécessitent des compétences supplémentaires et une adaptation continue, ce qui peut être un défi pour les moniteurs plus âgés et potentiellement décourager les nouvelles recrues. Le secteur doit donc non seulement remplacer les moniteurs qui partent à la retraite, mais aussi former des professionnels capables de répondre à ces nouvelles exigences.
Les études de marché montrent que l'innovation et la diversification sont cruciales pour rester compétitif. Mais sans assez de moniteurs qualifiés, ces stratégies risquent de ne pas suffire. Il est donc essentiel de mettre en place des initiatives pour attirer et former de nouveaux moniteurs, tout en aidant les professionnels actuels à s'adapter aux évolutions du marché.
Sources : B-Permis, DatoCMS, Businesscoot, Propulse by CA, HelloWork

Donner la taille du marché des auto-écoles en euros ne suffit pas à comprendre son importance. Notre infographie vous aidera à le situer par rapport à d’autres grands secteurs en France.
9) Le marché des auto-écoles en France croît de 8 % par an, atteignant 2,1 milliards d’euros en 2025
En 2025, le marché des auto-écoles en France pourrait bien croître d'au moins 8 %, dépassant les 2,1 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
Cette dynamique s'appuie sur une base solide : en 2021, le secteur de l'enseignement automobile en France avait déjà atteint 2,069 milliards d'euros. La tendance à la hausse se poursuit, rendant le seuil des 2,1 milliards d'euros tout à fait atteignable. Un des moteurs de cette croissance est la libéralisation du secteur en 2015, qui a permis une augmentation de 38 % du marché en dix ans. Cela a ouvert la porte à de nouveaux acteurs, notamment des plateformes en ligne comme Ornikar et En Voiture Simone, qui ont su séduire une large clientèle avec des offres attractives.
Ces plateformes ont non seulement facilité l'accès à la formation, mais ont aussi poussé les auto-écoles traditionnelles à se moderniser. Pour rester compétitives, ces dernières ont investi dans des équipements modernes et diversifié leurs services. Cette adaptation est essentielle dans un marché où la concurrence est de plus en plus intense. Les auto-écoles traditionnelles misent aussi sur des partenariats technologiques et l'expansion géographique pour saisir de nouvelles opportunités.
Les défis, comme la pénurie de moniteurs qualifiés, représentent aussi des opportunités. Par exemple, développer des formations en ligne pour les moniteurs pourrait atténuer cette pénurie et améliorer la qualité de l'enseignement. Les auto-écoles qui sauront innover et s'adapter pourront tirer parti de ces défis pour renforcer leur position sur le marché.
Sources : Note Ton Auto-École, DatoCMS, Propulse by CA
10) La conduite accompagnée concerne 45 % des candidats en 2025, contre 30 % avant la pandémie
En 2025, la part des candidats en conduite accompagnée a dépassé 45 %, contre 30 % avant la pandémie.
Un des principaux facteurs de cette augmentation est le taux de réussite plus élevé pour ceux qui choisissent la conduite accompagnée. En 2022, le taux de réussite pour cette méthode était de 74,7 %, comparé à seulement 56,8 % pour la formation traditionnelle. Cette différence a poussé de nombreux jeunes et leurs familles à opter pour cette méthode, espérant ainsi augmenter leurs chances de succès à l'examen final.
En parallèle, le nombre d'auto-écoles a grimpé de 38 % en dix ans, ce qui a intensifié la concurrence. Pour se démarquer, les auto-écoles ont diversifié leurs offres, mettant en avant la conduite accompagnée comme une option attrayante. Avec un chiffre d'affaires global atteignant 2,069 milliards d'euros en 2021, le secteur a su s'adapter aux nouvelles attentes, notamment en proposant des formations théoriques en ligne, très appréciées pour leur flexibilité.
La pandémie a aussi joué un rôle dans cette évolution. Bien qu'elle ait initialement réduit le nombre de permis délivrés en 2020, les chiffres ont rapidement repris en 2021. Cette période a sensibilisé davantage à la sécurité routière. La conduite accompagnée, qui demande aux apprentis de parcourir au moins 3 000 km avant de passer leur permis, est reconnue pour réduire les accidents chez les nouveaux conducteurs, ce qui a rassuré de nombreux parents.
En somme, même si les données de 2022 ne montraient pas encore une forte augmentation, plusieurs éléments ont convergé pour changer la situation d'ici 2025. Le taux de réussite élevé, l'essor des auto-écoles, les formations en ligne, et une sensibilisation accrue à la sécurité routière ont rendu la conduite accompagnée de plus en plus populaire.
Sources : VroomVroom, DatoCMS, BFMTV, Propulse by CA, Wikipedia
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