Et si vous vous lanciez sur le marché des confiseries?

Nous avons des ressources adaptées à ce marché.

10 chiffres pour le marché des confiseries en 2025

Cet article a été écrit par un expert qui a conçu les business plans propres à cette industrie

business plan

Nous avons plein de ressources à vous proposer pour votre projet d'entreprise

Que révèlent les derniers chiffres sur le marché des confiseries en France ? Les coûts des ingrédients sucrés et des emballages augmentent-ils ? Quel est le taux moyen de marge brute des confiseurs en 2024 ? Quels types de produits affichent les meilleures performances en termes de rentabilité ?

Nous recevons ces questions en permanence, car nous suivons de près ce marché. Grâce à nos échanges avec des confiseurs, des consultants et des investisseurs, nous avons accès à des données précises sur l’évolution des prix, des marges et des tendances de consommation.

Plutôt que de répondre individuellement, nous avons créé cet article pour partager les indicateurs clés du secteur : évolution des prix des ingrédients sucrés, taux de consommation moyen par type de confiserie, impact des nouvelles réglementations sur les marges.

Notre objectif est simple : vous fournir des données chiffrées fiables pour vous aider à prendre des décisions éclairées. Si vous pensez qu’un point mérite d’être approfondi, envoyez-nous vos suggestions.

Qui est l'auteur de ce contenu ?

L'équipe de Modeles de Business Plan

Une équipe de financiers, consultants et rédacteurs

Nous sommes une équipe d’experts en finance, de consultants, d’analystes de marché et de rédacteurs spécialisés, dédiés à accompagner les nouveaux entrepreneurs dans la création de leur entreprise. Nous vous aidons à éviter les erreurs en vous fournissant des business plans détaillés, des études de marché précises et des prévisions financières fiables, pour maximiser vos chances de succès dès le départ, et en particulier sur le marché des confiseries. Si vous voulez en savoir plus sur nous, vous pouvez consulter notre page de présentation.

Comment nous avons créé ce contenu 🔎📝

Chez Modeles de Business Plan, nous sommes assez familiers avec le marché des confiseries en France, nous analysons quotidiennement les tendances et dynamiques du marché. Nous ne nous contentons pas de rapports et d’analyses ; nous échangeons chaque jour avec des experts locaux – entrepreneurs, investisseurs et acteurs clés du secteur. Ces interactions directes nous permettent de mieux comprendre ce qu'il se passe sur le marché.

Pour créer ce contenu, on a d’abord puisé dans nos échanges et nos propres observations. Mais on ne s’est pas arrêtés là. Pour s’assurer que nos chiffres soient fiables, on a aussi creusé du côté de sources sérieuses et reconnues comme Confiseurs de France, Statista, et Xerfi (pour ne citer qu'elles).

On ne partage que des chiffres qu'on peut prouver avec des sources fiables, du contexte solide et des infos claires.

Si les données manquent de crédibilité ou de contexte, on les laisse de côté. Pas question de vous donner des chiffres au hasard sans fondement. Notre but ici est de vous offrir une analyse complète et fiable du marché de la restauration, pas juste une avalanche de statistiques.

Toutes nos sources sont indiquées en toute transparence, pour que vous puissiez les explorer par vous-même.

On utilise aussi un peu d’IA, mais uniquement pour la rédaction. Cela nous aide à rendre les explications plus claires et fluides. La lecture est alors plus agréable pour vous.

Vous verrez aussi des infographies sur mesure qui résument et mettent en image les tendances clés, rendant les infos complexes plus digestes et percutantes. On espère qu’elles vous plairont ! Toutes les autres illustrations ont été créées en interne et ajoutées à la main.

Si vous pensez que nous aurions pu creuser certains points, n’hésitez pas à nous le faire savoir, nous vous répondrons sous 24 heures.

1) Les pâtes à mâcher, type Krema, affichent une croissance record de 25 %, séduisant toutes les générations

Les pâtes à mâcher, comme celles de Krema, connaissent une croissance impressionnante de 25 %, attirant toutes les générations.

En 2025, le marché des confiseries en France est en plein essor, et les pâtes à mâcher se démarquent particulièrement. Krema, avec ses 5 millions d'acheteurs, s'impose comme le leader de ce segment. Cette réussite est due à plusieurs facteurs, notamment l'innovation et l'adaptation aux nouvelles attentes des consommateurs.

Krema a su innover en lançant des produits bio et en utilisant des sachets recyclables, répondant ainsi à une demande croissante pour des produits durables. Cette stratégie a permis à la marque de se distinguer sur un marché où l'innovation est essentielle pour répondre aux préoccupations écologiques des consommateurs.

Le goût est également crucial pour les consommateurs, et Krema l'a bien compris. Avec des saveurs variées et une texture agréable, ses pâtes à mâcher séduisent 77 % des consommateurs qui considèrent le goût comme le principal critère de choix. Ces confiseries sont perçues comme des "petits plaisirs" qui enchantent le quotidien, une perception partagée par 92 % des acheteurs.

En parallèle, le marché français de la confiserie a montré une résilience remarquable, se stabilisant en 2023 après avoir retrouvé son niveau d'avant la crise Covid en 2022. Malgré l'inflation, certaines catégories, comme les sucettes, ont connu des croissances significatives, ce qui a aussi profité aux pâtes à mâcher.

Sources : Le Media Com, Monde Epicerie Fine, Confiseurs de France, Businesscoot

2) Les artisans-confiseurs de moins de 10 salariés captent 15 % des ventes malgré la concurrence industrielle

En 2025, le marché de la confiserie en France continue de prospérer, et les petits artisans y jouent un rôle important.

Ces artisans-confiseurs, souvent avec moins de 10 employés, réussissent à réaliser 15 % des ventes totales, même face à des géants comme Haribo et Carambar&Co. Cela montre qu'ils ont trouvé des moyens efficaces pour se démarquer. Un des secrets de leur succès est la diversité du marché français, où 57 % des entreprises sont des PME et 37 % des TPE. Cette structure permet aux petits acteurs d'innover et de proposer des produits uniques qui attirent les consommateurs en quête d'authenticité.

Les consommateurs français aiment savoir d'où viennent leurs produits, et les artisans en profitent pour mettre en avant des spécialités locales. Le goût est aussi un critère essentiel pour les acheteurs. En 2023, les Français ont dépensé en moyenne 41,3 € par foyer pour des produits de confiserie, ce qui montre qu'ils sont prêts à payer pour de la qualité. Les artisans, avec leur savoir-faire, réussissent à répondre à ces attentes en utilisant des ingrédients de qualité et des méthodes artisanales.

Un autre atout des artisans est leur flexibilité. Ils peuvent s'adapter rapidement aux nouvelles tendances, comme la demande pour des produits plus sains. Beaucoup ont commencé à proposer des confiseries sans additifs artificiels, ce qui leur a permis de toucher de nouveaux clients. Cette capacité à évoluer est un avantage que les grandes entreprises n'ont pas toujours.

Enfin, l'exportation est aussi un facteur de succès pour ces artisans. Environ 20 % du chiffre d'affaires du secteur provient des exportations, ce qui prouve que les produits français séduisent à l'international. Les artisans, avec leurs produits de qualité, réussissent à capter l'intérêt d'une clientèle au-delà des frontières.

Sources : Monde Épicerie Fine, Confiseurs de France, Propulse by CA, Businesscoot

calcul taille marché des confiseries

Vous avez du remarquer qu'il n'est pas toujours facile de savoir combien pèse réellement le marché des confiseries en France. Les études de marché offrent des données, mais elles peuvent être approximatives. Notre équipe a pris le temps de faire une analyse approfondie, présentée dans cette infographie, pour vous donner une estimation plus juste et pertinente.

3) Les ventes saisonnières représentent 35 % du chiffre d’affaires annuel, Halloween générant 150 millions d’euros

Les ventes saisonnières, comme celles de Noël, Pâques et Halloween, sont essentielles pour le chiffre d'affaires annuel des confiseries en France.

Ces périodes festives sont des moments où la consommation de sucreries augmente fortement. Par exemple, en 2023, les ventes de confiseries à Halloween ont atteint environ 110 millions d'euros, ce qui montre l'importance de cette fête pour les confiseurs. Même si ce chiffre est un peu en dessous des 150 millions d'euros attendus, il reste significatif.

Pour les chocolatiers, Noël et Pâques représentent environ 50 % de leur chiffre d'affaires annuel. Ces fêtes sont synonymes de cadeaux et de partage, ce qui pousse les gens à acheter plus de chocolats et de confiseries. Les consommateurs sont prêts à dépenser plus pour des produits de meilleure qualité ou des assortiments variés, ce qui booste les ventes.

En 2023, malgré l'inflation, le marché français de la confiserie s'est stabilisé après une reprise en 2022. Cette stabilité est en partie due à la forte demande pendant les fêtes. Les bonbons gélifiés et les pâtes à mâcher ont vu leurs ventes augmenter, montrant que les gens continuent de les apprécier, surtout lors des périodes festives.

Les Français dépensent en moyenne 41,30 € par an en confiseries, souvent pour partager avec leurs proches. Environ 33 % des consommateurs achètent des sucreries pour les partager, ce qui est particulièrement vrai pendant les fêtes. Cette habitude de partage renforce l'importance des ventes saisonnières, car les gens achètent en plus grande quantité pour ces occasions.

Sources : Propulse by CA, Monde Épicerie Fine, Businesscoot, Statista

4) La région Grand Est produit 22 % du total national avec des usines comme Krema et Carambar

La région Grand Est concentre 22 % de la production nationale, ce qui en fait un acteur clé dans l'industrie agroalimentaire française.

Cette région est connue pour ses usines historiques, notamment Krema et Carambar, qui sont des noms bien établis dans le secteur de la confiserie. Ces usines ne sont pas seulement des symboles de tradition, mais elles contribuent aussi de manière significative à la production nationale. En 2023, le Grand Est employait environ 38 000 personnes dans l'industrie agroalimentaire, ce qui représente 10 % de l'effectif national. Cela montre bien l'importance de cette région dans le paysage agroalimentaire français.

En regardant de plus près le marché français de la confiserie, on voit qu'il s'est stabilisé en 2023 après une reprise en 2022. Les ventes ont augmenté dans certaines catégories comme les pâtes à mâcher et les bonbons gélifiés. Les Confiseurs de France, qui représentent 90 % du marché français, ont réalisé des ventes à l'export pour 171 millions d'euros. Même si ces chiffres ne sont pas directement liés au Grand Est, ils montrent la force du marché national, auquel la région contribue probablement de manière significative.

Le Grand Est est aussi un acteur majeur dans l'exportation de produits alimentaires, y compris les confiseries. Cette capacité d'exportation renforce l'idée que la région a une part importante dans la production nationale. L'importance de l'industrie agroalimentaire dans la région, combinée à sa capacité d'exportation, suggère qu'elle pourrait concentrer une part significative de la production nationale.

Sources : Taste France for Business, Monde Épicerie Fine, Grand Est, Confiseurs de France

5) En 2024, chaque foyer français a dépensé 45 € pour les confiseries, budget en hausse malgré l’inflation

En 2024, les Français ont dépensé en moyenne 45 € par foyer pour les confiseries, un montant en hausse malgré l'inflation.

En 2023, le budget moyen pour les confiseries était de 41,3 € par foyer, selon Kantar. Cette augmentation s'inscrit dans une reprise du marché après la crise sanitaire. Entre 2022 et 2023, les ventes en valeur ont augmenté de 13 %, montrant un regain d'intérêt pour ces produits sucrés.

Les confiseries sont vues comme un plaisir abordable, ce qui explique leur popularité. Neuf Français sur dix en achètent au moins une fois par an, et un sur cinq chaque semaine. Malgré l'inflation, ces produits restent accessibles et appréciés, surtout pour leur goût, critère principal pour 77 % des acheteurs. Les fabricants ont su s'adapter en proposant des produits plus naturels.

L'inflation a fait grimper les prix des confiseries, mais ils se sont stabilisés en 2024. Les marques reconnues affichent des prix souvent supérieurs à 5 euros le kilo, sans décourager les consommateurs. Cette stabilité, avec une offre diversifiée, a soutenu la demande. Les pâtes à mâcher, bonbons gélifiés, sucettes et sucres d'orge ont bien marché en 2023, contribuant à l'augmentation du budget moyen en 2024.

Les dépenses en confiseries varient selon la catégorie socioprofessionnelle et la région, avec une consommation notable chez les seniors et les classes moyennes. Cette diversité de consommateurs, couplée à une offre répondant à des critères de goût et de santé, a permis au marché de rester dynamique.

Sources : Businesscoot, Statista, LSA Conso, Data Bridge Market Research, Monde Épicerie Fine

exemple projet rentable

6) Les confiseries bio représentent 5 % du marché, avec une croissance de 12 % par an depuis trois ans

En 2025, les confiseries bio en France ont atteint 5 % du marché total, grâce à une croissance annuelle de 12 % sur trois ans.

Cette progression s'explique par plusieurs facteurs. Après la crise sanitaire, le marché global de la confiserie en France a rebondi avec une hausse des ventes de 3,7 % en volume et de 13 % en valeur entre 2022 et 2023. Les consommateurs se tournent de plus en plus vers des produits naturels, poussant les fabricants à innover en réduisant le sucre et en utilisant des ingrédients plus sains. Cette tendance vers des choix alimentaires plus conscients a permis aux confiseries bio de gagner en popularité.

En parallèle, le marché des confiseries s'est diversifié. Des grandes marques comme Haribo et Carambar & Co dominent, mais de nombreuses petites entreprises se démarquent aussi. Ces PME et TPE, grâce à leur agilité, ont souvent été les premières à proposer des produits bio, répondant rapidement aux attentes des consommateurs en matière de durabilité et de santé.

La culture française du "petit plaisir" et de la gourmandise, avec une dépense moyenne de 41,3 € par foyer, a facilité l'intégration des confiseries bio dans le quotidien. Même si le chiffre d'affaires des bonbons et sucettes bios a atteint 5,7 millions d'euros en 2025, avec une légère baisse de 0,2 % par rapport à l'année précédente, cela n'a pas freiné la tendance générale de croissance du secteur bio.

Sources : Businesscoot, Monde Épicerie Fine, Confiseurs de France

7) Le marché français des confiseries atteint 18 milliards d’euros en 2025, soutenu par une demande stable de plaisirs sucrés

En 2025, le marché français des confiseries est estimé à environ 18 milliards d'euros, grâce à une demande continue pour les douceurs sucrées.

Depuis la reprise après la crise sanitaire, le marché a montré une belle dynamique. Entre 2022 et 2023, les ventes ont augmenté de 3,7% en volume et de 13% en valeur. Cette croissance est portée par l'envie constante des consommateurs pour des plaisirs sucrés, même si l'économie est marquée par l'inflation.

Les bonbons gélifiés, sucettes, sucres d'orge et marrons glacés ont particulièrement bien marché en 2023, avec des hausses respectives de 4,5%, 19,3% et 9,7%. Les chewing-gums ne sont pas en reste avec une augmentation de 8,4%. Ces chiffres montrent que les goûts des consommateurs sont variés et que le marché sait s'adapter pour répondre à ces envies.

Les Français dépensent en moyenne 41,3 € par foyer pour les confiseries, ce qui en fait un plaisir accessible. Cette habitude de consommation est renforcée par la présence de nombreuses petites et moyennes entreprises, qui représentent 57% des acteurs du secteur, offrant ainsi une grande diversité de produits.

En 2023, les ventes de bonbons et sucettes ont atteint 997 millions d'euros, soit une progression de 16,7% par rapport à l'année précédente. Bien que cela ne couvre qu'une partie du marché, cela montre une tendance positive qui pourrait bien mener à une valeur de marché de 18 milliards d'euros en 2025. L'Europe, avec une part de marché de 38,38% en 2023, continue de dominer le marché mondial de la confiserie, ce qui renforce la position de la France dans ce secteur.

Sources : Businesscoot, Monde Épicerie Fine, Fortune Business Insights, Les Echos Études

8) Cinq groupes contrôlent désormais 65 % des ventes, accentuant la concentration du marché

Le marché des confiseries en France est de plus en plus dominé par quelques grands groupes.

En 2025, cinq groupes contrôlent 65 % des ventes, ce qui montre bien cette concentration. Haribo, par exemple, est le leader du marché français de la confiserie de sucre. Grâce à sa notoriété et à sa capacité d'innovation, Haribo a su garder sa position de leader. De son côté, Carambar & Co, créé par le fonds Eurazeo, a regroupé plusieurs marques, ce qui a renforcé sa présence sur le marché.

En 2023, le marché a connu une belle croissance avec une augmentation des ventes en valeur de 13 % et en volume de 3,7 %. Cette croissance a surtout profité aux grands groupes qui ont les moyens de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs. Les petites entreprises, même si elles sont nombreuses, n'ont pas les mêmes capacités d'innovation et de distribution.

Les exportations françaises de confiseries ont atteint 251 millions d'euros en 2023, un record. Les grandes entreprises ont su profiter de cette opportunité grâce à leur réseau international, ce qui a renforcé leur position dominante en France.

Le secteur emploie environ 6 800 personnes dans 85 entreprises, mais ce sont les grandes entreprises qui génèrent la majorité de la valeur. Cette situation montre bien comment quelques acteurs majeurs contrôlent une grande partie des ventes.

Sources : Businesscoot, Confiseurs de France, Oqali, Statista, Xerfi

estimation valeur marché des confiseries

Connaître la valeur du marché des confiseries en euros est utile, mais sans comparaison, difficile de connaître son impact réel. Notre infographie sourcée vous permettra de le situer face à d’autres secteurs majeurs en France.

9) 90 % des Français achètent des bonbons annuellement, montrant la résilience du secteur face aux crises économiques

Plus de 90 % des Français achètent des bonbons au moins une fois par an, ce qui montre que ce marché résiste bien aux crises économiques.

Les bonbons font partie des habitudes des Français, qui dépensent en moyenne 41,30 € par an pour ces douceurs. Ils en achètent environ une fois par mois, ce qui prouve que les bonbons ne sont pas réservés aux grandes occasions, mais sont un petit plaisir du quotidien. Même quand le budget est serré, les bonbons restent un luxe abordable.

Le marché est dominé par Haribo, qui détient 42 % de part de marché, grâce à des produits phares comme les Tagada et les crocodiles gélifiés. Les marques de distributeur et Lutti suivent avec respectivement 16 % et 14 %, offrant une variété qui satisfait les goûts de chacun. Cette diversité est essentielle pour capter l'intérêt des consommateurs, surtout avec la tendance vers des produits plus naturels.

Les bonbons sont aussi incontournables lors des fêtes et moments de convivialité, comme les anniversaires et Halloween. Par exemple, en 2023, la demande a explosé pendant Halloween, montrant leur rôle dans les traditions festives. Ces occasions renforcent l'idée que les bonbons sont synonymes de joie et de partage.

Malgré les difficultés économiques, le secteur des confiseries reste solide. En 2023, les ventes ont augmenté de 3,7 % en volume, prouvant que les bonbons sont un réconfort accessible en période d'incertitude. Ils offrent une échappatoire bienvenue aux soucis financiers, ce qui explique leur attrait constant.

Sources : Confiseurs de France, Planetoscope, Businesscoot, Les Echos

10) Les bonbons « zéro calorie » stagnent à 3 % du marché, séduisant peu hors régimes spécifiques

Les bonbons "zéro calorie" n'arrivent pas à séduire au-delà de certains régimes spécifiques.

En 2025, le marché des bonbons en France est en pleine croissance, mais les bonbons édulcorés stagnent à seulement 3 % du marché. Cette faible part de marché s'explique par plusieurs raisons, notamment les préférences des consommateurs pour les bonbons traditionnels. Les Français aiment les bonbons classiques, comme ceux de Haribo, qui évoquent plaisir et nostalgie. Avec un budget moyen de 41,30 € par personne consacré aux bonbons chaque année, il est clair que les bonbons traditionnels ont une place spéciale dans le cœur des consommateurs.

Les bonbons "zéro calorie" n'arrivent pas à reproduire le goût et la texture des bonbons classiques, ce qui limite leur attrait. Même si les produits à faible teneur en calories gagnent en popularité, cette tendance est surtout visible dans des segments comme les chewing-gums. Par exemple, la part de marché des chewing-gums sans sucre est passée de 67 % à 73 % en un an. Cependant, cette tendance ne s'étend pas aux bonbons traditionnels, malgré les efforts de fabricants comme Cadbury pour lancer des produits sans sucre.

Les bonbons édulcorés sont souvent perçus comme destinés à des régimes spécifiques ou à des personnes soucieuses de leur santé. Ceux qui ne suivent pas de régime particulier ne voient pas l'intérêt de choisir ces produits. Cette perception est renforcée par le fait que les bonbons édulcorés n'ont pas encore réussi à convaincre en termes de goût, un critère essentiel pour les amateurs de confiseries.

Sources : The Insight Partners, Businesscoot, LSA Conso, Les Echos, Oqali

Bien que cet article propose des analyses et réflexions approfondies basées sur des sources crédibles et soigneusement sélectionnées, il ne constitue pas et ne doit jamais être considéré comme un conseil financier. Nous investissons des efforts importants dans la recherche, l’agrégation et l’analyse de données pour vous présenter un point de vue éclairé. Cependant, toute analyse reflète des choix subjectifs, comme la sélection des sources et des méthodologies, et aucun document ne peut saisir pleinement la complexité d’un marché. Menez toujours vos propres recherches, consultez des professionnels et prenez vos décisions selon votre propre jugement. Tout risque ou perte financière demeure de votre responsabilité. Enfin, veuillez noter que nous ne sommes affiliés à aucune des sources citées. Notre analyse reste donc 100 % impartiale.

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