Cet article a été écrit par un expert qui a conçu les business plans propres à cette industrie
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Quelles sont les perspectives pour le marché de la construction en France en 2025 ? Les coûts des matériaux vont-ils continuer à augmenter ? Quels types de projets seront les plus rentables ? Quelles nouvelles réglementations influenceront le secteur ?
Nous surveillons ces tendances de près grâce à nos discussions avec des entrepreneurs, des experts et des investisseurs.
Ce guide vous propose des prévisions chiffrées et une analyse des évolutions clés à venir.
Notre objectif : vous aider à anticiper les changements et optimiser vos décisions. Des suggestions ? Partagez-les avec nous.
1) Les entreprises de construction en France adopteront l'économie circulaire pour réduire les déchets et optimiser les ressources
En 2025, le secteur de la construction en France change complètement en adoptant des modèles économiques basés sur l'économie circulaire.
Les entreprises de construction cherchent à réduire les coûts de production qui ont beaucoup augmenté ces dernières années. L'économie circulaire, qui vise à réduire les déchets et à mieux utiliser les ressources, semble être une solution idéale. Le gouvernement français a mis en place de nouvelles réglementations environnementales qui obligent les entreprises à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à utiliser des matériaux recyclés. Par exemple, le projet "Grand Paris" intègre des objectifs de durabilité en utilisant des matériaux recyclés et en réduisant les déchets, montrant ainsi comment les politiques publiques peuvent encourager le changement.
Les entreprises investissent aussi dans la recherche de matériaux durables. Saint-Gobain, un leader dans ce domaine, a consacré des ressources importantes à l'innovation pour réduire l'empreinte carbone de ses produits. De même, Vinci et Bouygues ont lancé plusieurs initiatives pour intégrer des matériaux recyclés dans leurs projets. Ces efforts sont soutenus par une prise de conscience croissante des consommateurs et des professionnels sur l'importance des pratiques durables.
Les grandes entreprises de construction collaborent de plus en plus avec des start-ups spécialisées dans l'économie circulaire. Vinci et Bouygues travaillent avec des start-ups pour développer des solutions innovantes de recyclage des matériaux. Ces partenariats permettent de combiner l'expertise des grandes entreprises avec l'innovation des start-ups, ce qui accélère l'adoption de pratiques circulaires.
Enfin, les certifications et labels écologiques pour les projets de construction poussent les entreprises à adopter des pratiques plus durables. Ces certifications, qui garantissent le respect de normes environnementales strictes, sont de plus en plus recherchées par les consommateurs et les investisseurs, ce qui met la pression sur les entreprises pour qu'elles adoptent des modèles économiques basés sur l'économie circulaire.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, TechTime
2) Les bâtiments en France intégreront des technologies avancées pour résister aux événements climatiques extrêmes
En 2025, la France doit construire des bâtiments capables de résister aux événements climatiques extrêmes.
En 2024, seulement 250 000 logements ont été commencés, ce qui a poussé le secteur à innover et à adopter des technologies de résilience avancées. Les nouvelles règles environnementales sont au cœur de ce changement, en imposant des normes de construction plus strictes pour rendre les bâtiments plus résistants au climat. Cela inclut l'utilisation de matériaux innovants qui peuvent supporter des conditions météorologiques imprévisibles.
La certification Haute Qualité Environnementale (HQE) est un bon exemple de cette tendance. Initialement axée sur la durabilité, elle inclut maintenant des critères de résilience climatique. Les bâtiments certifiés HQE sont donc mieux préparés pour affronter des événements comme les inondations et les tempêtes, tout en réduisant l'empreinte carbone du secteur de la construction.
Des villes comme Paris et Bordeaux commencent à mettre en place des plans de résilience climatique. Même si les détails ne sont pas toujours clairs, ces initiatives montrent que l'importance de la résilience est de plus en plus reconnue dans la planification urbaine. Ces villes pourraient inspirer d'autres régions à intégrer des technologies de résilience dans leurs projets de construction.
À l'échelle mondiale, l'utilisation de matériaux durables et de systèmes de gestion de l'eau et de l'énergie influence aussi le marché français. Ces innovations, combinées aux efforts locaux, montrent que les bâtiments en France seront de plus en plus conçus pour résister aux événements climatiques extrêmes.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Prévention BTP, Crédit Agricole Études Économiques
Si vous souhaitez vous lancer sur le marché de la construction, vous devez comprendre les nouvelles attentes des consommateurs Voici une infographie, que nous avons réalisé, qui vous en donne un aperçu clair.
3) Les entreprises de construction investiront dans le captage et stockage du carbone pour respecter les normes environnementales en France
Les entreprises de construction en France vont investir dans des technologies de capture et de stockage du carbone pour respecter les nouvelles règles environnementales.
En 2025, le secteur de la construction en France doit faire face à des défis environnementaux et économiques importants. Les règles deviennent plus strictes et les objectifs de réduction des émissions de carbone fixés par l'Union européenne et la France sont ambitieux. Cela pousse les entreprises à changer leurs méthodes. Investir dans des technologies de capture et de stockage du carbone devient une solution nécessaire et stratégique pour rester compétitif.
La construction neuve a chuté de 41 % à fin janvier 2024, ce qui montre que le secteur doit se réinventer. Cette baisse devrait continuer, selon la Fédération française du bâtiment. Les entreprises cherchent donc des solutions innovantes pour relancer l'activité. Les technologies de capture et de stockage du carbone peuvent réduire l'empreinte carbone des projets, un critère de plus en plus important pour les consommateurs et les régulateurs.
Les subventions gouvernementales, comme le crédit d'impôt pour la rénovation énergétique, encouragent l'adoption de technologies vertes. Ces aides, combinées à la pression des consommateurs pour des pratiques durables, créent un environnement favorable à l'adoption de solutions de capture de carbone. Les grandes entreprises de construction françaises s'engagent de plus en plus à atteindre la neutralité carbone, souvent en partenariat avec des start-ups spécialisées.
Des normes et certifications pour les bâtiments bas carbone sont en développement, ce qui devrait accélérer l'adoption de ces technologies. Les projets intégrant des solutions de capture de carbone, bien que peu nombreux pour l'instant, devraient se multiplier, surtout dans la rénovation énergétique des bâtiments existants. Les initiatives locales des villes françaises et les collaborations académiques soutiennent aussi cette tendance.
Les tendances mondiales en construction durable influencent également la France. Les conférences et salons professionnels sur ces sujets se multiplient, facilitant l'échange d'idées et l'adoption de nouvelles technologies. Bien que l'intégration de ces technologies en France soit encore émergente, l'expérience internationale prouve leur succès potentiel.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Prévention BTP, Crédit Agricole Études Économiques
4) L'IA optimisera la conception et la planification des projets de construction en France
En 2025, les entreprises de construction en France se tournent vers l'intelligence artificielle pour mieux concevoir et planifier leurs projets.
Cette adoption de l'IA est en partie due aux difficultés économiques du secteur. En 2024, l'activité du bâtiment a chuté de 6,6 % en volume, et une baisse de 5,6 % est attendue pour 2025. Dans ce contexte, l'IA est vue comme une solution pour améliorer l'efficacité et réduire les coûts.
Des entreprises comme Vinci Construction et Bouygues Construction montrent bien cette transition. Vinci utilise l'IA pour simuler des scénarios de construction et optimiser la planification, ce qui permet de gagner du temps et de réduire les erreurs coûteuses. Bouygues, quant à elle, utilise l'IA pour la maintenance prédictive, ce qui a permis de réduire de 140 tonnes les armatures sur un projet, prouvant l'impact positif de l'IA sur l'optimisation des ressources.
L'IA n'est pas réservée aux grandes entreprises. S3D ENGINEERING l'utilise pour créer des modèles 3D précis, détectant et corrigeant les erreurs avant qu'elles ne deviennent coûteuses. Cette anticipation est cruciale dans un marché où la précision et l'efficacité sont essentielles.
Bien que le gouvernement ne soit pas explicitement mentionné, l'industrie encourage l'adoption de l'IA. Les investissements dans les technologies numériques augmentent, et les entreprises françaises sont à la pointe de cette innovation. L'IA est reconnue pour sa capacité à transformer la conception et la planification des projets de construction.
Sources : La Revue IA, Tool Advisor, S3D Engineering, Prévention BTP, Bouygues Construction
5) La réalité augmentée permettra de visualiser les projets de construction avant le début des travaux
La réalité augmentée (RA) change la donne dans le secteur de la construction en permettant aux clients de voir leurs projets avant même que les travaux ne commencent.
En 2025, des entreprises comme Bouygues Construction et Vinci utilisent la RA pour projeter des plans en 3D directement sur les chantiers. Cela aide les équipes à vérifier que tout est conforme aux plans et permet aux clients de mieux imaginer leur futur espace. Cette technologie rend le processus de décision plus simple et plus clair pour tout le monde.
La RA améliore aussi la communication entre les différentes équipes de construction. Par exemple, Vinci s'en sert pour que les architectes, ingénieurs et techniciens puissent repérer et corriger les erreurs avant de commencer les travaux. Cela permet de réduire les coûts et les délais, ce qui est crucial alors que le secteur de la construction est en difficulté, avec une baisse prévue de 21,3 % de la construction neuve en 2024.
En combinant la RA avec le Building Information Modelling (BIM), on obtient des modèles numériques en 3D enrichis, faciles à comprendre pour les clients. Cette combinaison rend la visualisation des projets plus avancée, ce qui facilite la prise de décision et l'adhésion des parties prenantes. Les investissements dans ces technologies augmentent, montrant un intérêt croissant pour des solutions de visualisation qui répondent aux besoins changeants du marché.
Des projets comme le tunnel Eole GC-TUN à Paris montrent comment la RA est utilisée de manière innovante. Bouygues Travaux Publics a testé la réalité virtuelle et augmentée pour offrir une immersion virtuelle avec des relevés scanner 3D et des photos 360°. Ces outils permettent aux clients et aux équipes de vivre une expérience immersive, renforçant ainsi leur compréhension et leur engagement envers le projet.
Sources : Bpifrance, Tool Advisor, Construction21, Trésor Économie, Bouygues Construction
6) Les entreprises de construction s’allieront à des start-ups pour intégrer des innovations technologiques en France
Les entreprises de construction en France s'associent de plus en plus avec des start-ups technologiques pour intégrer des innovations dans leurs projets.
En 2023, le chiffre d'affaires du secteur du bâtiment a atteint 215 milliards d'euros, mais malgré cette croissance apparente, il y a une pression pour innover à cause d'une érosion réelle de 1 %. Les start-ups comme AItenders et Muance apportent des solutions concrètes : AItenders utilise l'intelligence artificielle pour simplifier la gestion des appels d'offres, tandis que Muance se concentre sur la construction modulaire et durable. Ces innovations aident les entreprises à être plus efficaces et à réduire les erreurs.
Les initiatives gouvernementales, telles que La French Tech, jouent un rôle important en soutenant cet écosystème. Des programmes comme French Tech Next40/120 mettent en avant les start-ups prometteuses, leur offrant visibilité et soutien financier. Cela incite les entreprises de construction à collaborer avec ces jeunes pousses pour intégrer des technologies de pointe.
Les tendances mondiales, comme la numérisation et l'automatisation, influencent aussi le secteur. Par exemple, l'impression 3D et les drones gagnent en popularité car ils améliorent l'efficacité et la précision des projets. Des événements comme VivaTech facilitent les rencontres entre entreprises de construction et start-ups, mettant en avant ces innovations.
Des initiatives de formation, telles que le Campus Hors Site, préparent la main-d'œuvre à adopter ces nouvelles technologies. Cela garantit que le secteur de la construction en France reste à la pointe de l'innovation, en formant des professionnels capables d'intégrer ces avancées dans leurs pratiques quotidiennes.
Sources : EU Startup News, Tool Advisor, La French Tech, Prévention BTP, JourneyBee
7) Les bâtiments français intégreront le stockage d'énergie pour optimiser les énergies renouvelables
En France, les bâtiments vont de plus en plus utiliser des technologies pour stocker l'énergie et mieux profiter des énergies renouvelables.
En 2025, cette tendance est soutenue par des politiques et des économies qui poussent vers les énergies vertes. Le secteur du bâtiment, avec un chiffre d'affaires de 215 milliards d'euros en 2023, montre une croissance, même si l'activité réelle a un peu ralenti. Cela montre que le marché change, avec plus d'importance donnée à l'innovation et à la durabilité.
Les investissements dans la construction ont atteint 281,1 milliards d'euros en 2022, soit une hausse de 11 % par rapport à l'année précédente. Cela montre un intérêt pour des projets avec des solutions énergétiques avancées, comme le stockage d'énergie. Les incitations fiscales, comme le crédit d'impôt pour la rénovation énergétique, encouragent aussi l'adoption de ces technologies, rendant les bâtiments plus autonomes et résistants aux variations d'énergie.
De plus, le nombre croissant de bâtiments certifiés HQE (Haute Qualité Environnementale) en France montre un engagement vers des constructions durables. Même si cette certification ne parle pas directement du stockage d'énergie, elle inclut des critères de performance énergétique qui peuvent être atteints grâce à ces technologies. Les bâtiments HQE sont souvent à la pointe de l'innovation en durabilité.
Les partenariats entre entreprises de construction et fournisseurs de technologies énergétiques, bien qu'encore en développement, offrent une chance d'accélérer l'intégration de ces technologies. Ces collaborations peuvent mener à des innovations qui rendent le stockage d'énergie plus accessible et rentable pour les projets de construction.
Malgré les prévisions de ralentissement dans le secteur de la construction pour 2025, les politiques gouvernementales axées sur la durabilité et les énergies renouvelables continuent de pousser l'adoption de technologies de stockage d'énergie. Les politiques énergétiques en France, de plus en plus tournées vers la transition énergétique, créent un cadre favorable pour ces innovations dans le bâtiment.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Prévention BTP
8) Les bâtiments en France adopteront des systèmes intelligents pour optimiser la gestion de l'eau
En 2025, la France doit absolument mieux gérer ses ressources en eau à cause des défis environnementaux et économiques.
Les sécheresses fréquentes ont montré qu'il est urgent de mieux gérer l'eau. Le gouvernement français a donc lancé des politiques incitatives, comme des subventions, pour encourager l'installation de systèmes de gestion de l'eau intelligents. Ces mesures poussent les propriétaires et promoteurs à adopter des solutions durables, transformant déjà des villes comme Paris et Lyon avec ces nouvelles technologies.
La technologie joue un rôle clé dans cette évolution. Les compteurs d'eau intelligents, par exemple, permettent de suivre la consommation d'eau en temps réel, ce qui aide à réduire le gaspillage. Des entreprises technologiques s'associent avec des promoteurs immobiliers pour intégrer ces solutions dans les nouveaux bâtiments et rénovations. Cette tendance est aussi poussée par les consommateurs qui veulent des bâtiments plus écologiques.
Les normes de construction écologique, comme la certification HQE, incluent désormais des critères stricts pour la gestion de l'eau. Des bâtiments comme le siège social de la Société Générale à Paris montrent comment ces normes sont appliquées, en utilisant des technologies avancées pour réduire leur impact environnemental. Cela prouve que l'adoption de systèmes intelligents est devenue essentielle pour répondre aux attentes réglementaires et sociétales.
La législation européenne sur la gestion de l'eau influence aussi fortement les pratiques en France. Elle encourage l'adoption de technologies plus efficaces, créant un environnement favorable à l'innovation. En 2025, ces forces poussent le secteur du bâtiment en France vers une transformation durable, où l'optimisation de l'eau devient une priorité.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Prévention BTP, Crédit Agricole Études Économiques
Vous avez du remarquer qu'il n'est pas toujours facile de savoir combien pèse réellement le marché de la construction en France. Les chiffres disponibles dans les études ne sont pas toujours fiables. Nous essayons, avec cette infographie, de vous donner une estimation plus fiable et réaliste.
9) Les clients français voudront des solutions de construction réduisant l'empreinte carbone, même à un coût initial plus élevé
En 2025, le secteur de la construction en France est en pleine transformation, avec une forte demande pour des solutions qui réduisent l'empreinte carbone.
Les investissements en construction ont atteint 281,1 milliards d'euros en 2022, ce qui montre l'intérêt pour des solutions durables. Les nouvelles lois environnementales obligent des entreprises comme Bouygues Construction et Vinci à utiliser des matériaux écologiques et des technologies vertes. Ces entreprises ne se contentent pas de suivre les règles, elles anticipent aussi les attentes des clients qui veulent des choix respectueux de l'environnement.
Les incitations fiscales, comme le crédit d'impôt pour la rénovation énergétique, encouragent aussi cette transition. En 2023, l'activité en entretien-amélioration a augmenté de 3,1 % en volume, grâce à ces aides financières. Les certifications environnementales, telles que HQE et BREEAM, deviennent populaires, poussant les entreprises à s'y conformer pour rester compétitives.
Des projets comme le quartier écologique de Paris-Saclay et les bâtiments à énergie positive à Grenoble montrent que les technologies durables répondent à une vraie demande des consommateurs pour des lieux de vie plus sains. Les villes françaises, en visant la neutralité carbone, mettent aussi la pression sur le secteur pour qu'il innove.
Les investisseurs, de plus en plus exigeants sur les pratiques durables, influencent fortement le marché. Les entreprises qui ne s'adaptent pas risquent de perdre des financements, ce qui les pousse à intégrer des solutions écologiques. Cette tendance mondiale vers la construction durable, combinée à des attentes locales, fait que les clients français exigent des solutions qui réduisent l'empreinte carbone, même si cela coûte plus cher au départ.
Sources : Trésor Économie, Prévention BTP, Indépendant.io, Tool Advisor, FFBâtiment
10) Les maisons 3D gagneront en popularité pour la construction résidentielle en France grâce à leur rapidité et coût réduit
En 2025, l'impression 3D devient une option populaire pour construire des maisons en France.
La raison principale est simple : il y a moins de nouvelles maisons construites. En 2023, seulement 295 000 logements ont été mis en chantier, ce qui est le plus bas niveau depuis longtemps. Avant, entre 2010 et 2019, on construisait en moyenne 385 000 logements par an. Cette baisse pousse à chercher des méthodes plus rapides et efficaces, comme l'impression 3D.
En plus, construire de manière traditionnelle coûte de plus en plus cher. L'impression 3D, elle, permet de faire des économies. Elle réduit les déchets et utilise mieux les matériaux, ce qui est un gros avantage pour les entreprises qui veulent dépenser moins et gagner plus. C'est un argument fort pour ceux qui construisent des maisons.
Les gens s'inquiètent aussi de plus en plus pour l'environnement. L'impression 3D aide à construire des maisons qui polluent moins et qui sont plus économes en énergie. Elle permet aussi de créer des designs modernes et modulables, ce qui plaît beaucoup aujourd'hui. Cette technologie répond donc bien aux attentes actuelles en matière de durabilité.
Le gouvernement ne parle pas directement de l'impression 3D, mais il soutient les nouvelles technologies avec des plans comme "France Relance". Ce genre de politique encourage indirectement l'utilisation de l'impression 3D dans la construction. En plus, on voit que les investissements dans les technologies de construction innovantes augmentent en France, ce qui montre un intérêt croissant pour l'impression 3D.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, TechTime, Crédit Agricole Études Économiques
11) Les maisons intelligentes en France intégreront des systèmes énergétiques adaptatifs aux habitudes des occupants
En France, les maisons intelligentes vont bientôt intégrer des systèmes qui gèrent l'énergie en s'adaptant automatiquement aux habitudes des habitants.
En 2023, le secteur du smart building en France a connu une croissance de 5 % par rapport à 2019, et cette tendance continue grâce à l'utilisation de technologies numériques et d'intelligence artificielle. Ces systèmes intelligents analysent comment les gens consomment l'énergie et ajustent automatiquement le chauffage, l'éclairage ou la climatisation pour être plus efficaces. Ce ne sont pas juste des gadgets, mais des solutions concrètes pour rendre les maisons plus durables et économes en énergie.
Le gouvernement français soutient fortement cette transition avec le plan "France Relance", qui aide à moderniser les vieux bâtiments et à réduire leurs dépenses énergétiques. Ce plan propose des subventions pour encourager l'installation de systèmes de gestion de l'énergie intelligents, rendant ces technologies plus accessibles. En plus, des entreprises technologiques collaborent avec des fournisseurs d'énergie pour créer des solutions innovantes, renforçant ainsi l'écosystème des maisons intelligentes.
Des projets pilotes à Grenoble et Lyon montrent comment ces systèmes peuvent être intégrés dans des quartiers entiers. Ces initiatives prouvent que ces technologies sont non seulement techniquement possibles, mais aussi bien acceptées par le public. Les gens, de plus en plus conscients de leur impact écologique, sont attirés par le confort et la personnalisation que ces systèmes offrent. Cette personnalisation est un facteur clé pour l'adoption de ces technologies, car elle répond à une demande croissante pour des solutions sur mesure qui améliorent le confort et l'efficacité énergétique.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Trouver un Logement Neuf, Crédit Agricole Études Économiques
12) Les constructions en France intégreront des espaces d'agriculture urbaine pour favoriser l'autosuffisance alimentaire
En France, les projets de construction pourraient bientôt inclure des espaces pour l'agriculture urbaine afin de favoriser l'autosuffisance alimentaire.
Dans des villes comme Paris et Lyon, les municipalités encouragent déjà l'utilisation de terrains vacants pour des projets agricoles urbains. Cette tendance montre un engagement clair à intégrer l'agriculture urbaine dans le tissu urbain, influençant ainsi les futurs projets de construction. Les politiques municipales jouent un rôle crucial en soutenant cette transition vers des villes plus vertes et autosuffisantes.
Les technologies comme l'hydroponie et l'aquaponie facilitent cette intégration en permettant de cultiver des plantes dans des espaces restreints et contrôlés. En France, l'adoption de ces technologies a été notable, et leur efficacité prouvée pourrait inciter les promoteurs immobiliers à les intégrer dans leurs projets. Cela répondrait à une demande croissante de produits frais et locaux, tout en optimisant l'utilisation des espaces urbains.
Le succès des marchés de producteurs locaux en milieu urbain montre une forte demande pour des produits alimentaires frais et de proximité. Cette tendance pourrait pousser les promoteurs à inclure des espaces d'agriculture urbaine dans leurs projets. En intégrant ces espaces, ils offrent une valeur ajoutée aux futurs résidents et contribuent à l'autosuffisance alimentaire des communautés urbaines.
Bien que le secteur du bâtiment ait connu une baisse des mises en chantier, avec seulement 250 000 logements prévus en 2024, cette situation pourrait paradoxalement favoriser l'innovation. Les promoteurs, confrontés à un marché plus compétitif, pourraient se démarquer en intégrant des éléments novateurs comme l'agriculture urbaine dans leurs projets. Cela répondrait à une demande sociétale croissante pour des pratiques durables et offrirait un argument de vente unique dans un marché en contraction.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, TechTime
13) Les plateformes numériques renforceront la collaboration et la transparence dans la construction en France
En 2025, le secteur de la construction en France utilise de plus en plus les plateformes numériques pour améliorer la collaboration entre les différents acteurs.
Des technologies comme le Building Information Modeling (BIM) sont maintenant courantes, et des entreprises comme Bouygues Construction et Vinci les ont intégrées pour mieux coordonner leurs projets. Par exemple, le projet de rénovation du Grand Palais à Paris a montré comment ces outils peuvent réduire les erreurs et les retards en facilitant la coordination entre les intervenants.
Les investissements dans les technologies numériques augmentent, avec des start-ups comme Finalcad qui développent des solutions pour rendre les chantiers plus efficaces. Ces outils aident à mieux gérer les ressources et à optimiser les processus, ce qui réduit les coûts et les délais. Le gouvernement français soutient cette numérisation avec des initiatives qui encouragent l'adoption de technologies innovantes et renforcent la collaboration.
Les partenariats technologiques sont aussi essentiels. Par exemple, la collaboration entre Dassault Systèmes et Bouygues a permis d'intégrer des solutions numériques avancées, ce qui facilite l'interopérabilité des outils utilisés par différents acteurs. Cette interopérabilité est cruciale pour une communication fluide et une collaboration efficace.
En plus, la blockchain et l'Internet des objets (IoT) commencent à se répandre dans le secteur. La blockchain assure la transparence des contrats et des paiements, réduisant les risques de litiges. L'IoT permet un suivi en temps réel des chantiers, ce qui améliore l'efficacité opérationnelle et permet de gérer les problèmes potentiels de manière proactive.
La formation des professionnels de la construction aux outils numériques est en cours pour soutenir cette transition. Cela garantit que les travailleurs peuvent pleinement utiliser les nouvelles technologies, améliorant ainsi la productivité et la qualité des projets.
Sources : Trésor Économie, Tool Advisor, Indépendant.io, Prévention BTP
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