Cet article a été écrit par un expert qui a étudié l’industrie et a confectionné le pack complet pour un restaurant
Nous avons beaucoup de business plans, études de marché, prévisionnels financiers et ressources pour plusieurs types de restaurant (fast food, asiatique, dark kitchen, etc.) à vous proposer !
Où se dirige le marché de la restauration française en 2025 ? Est-il en croissance ? Quels types d’établissements séduisent ? Combien de fois les Français sortent-ils au restaurant, et pour quel budget ?
Si vous envisagez de vous lancer, ces réponses sont essentielles.
Ici, pas de spéculations : nous nous appuyons sur des données fiables et des analyses solides, comme celles que nous avons intégré dans notre pack complet pour le restaurateur.
Découvrez maintenant les chiffres clés pour réussir sur le marché de la restauration en France en 2025.
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Les chiffres pour estimer la taille du marché de la restauration en France en 2025
Chiffre d'affaires
En 2023, les dépenses de consommation dans le secteur de la restauration rapide en France atteignent 18,6 milliards d'euros.
Les dépenses en restauration hors domicile en 2024, atteignant 27,7 milliards d’euros, sont proches de celles du premier semestre 2019 (27,8 milliards d’euros).
En 2023, la France était troisième en chiffre d'affaires dans la restauration en Europe, derrière l'Allemagne et au même niveau qu'elle, avec 117,3 milliards d'euros.
En 2023, le chiffre d'affaires de la restauration a augmenté de 7% par rapport à 2022, grâce à l'inflation et à une dépense moyenne plus élevée.
En 2023, le chiffre d'affaires de la restauration en France s'élevait à 147 milliards d'euros, marquant une progression annuelle moyenne de 2,6 % depuis 2018.
En 2024, l'industrie de la restauration en France génère un chiffre d'affaires de 76,6 milliards d'euros.
En 2024, le marché de la restauration en France est évalué à 77,28 milliards de dollars (environ 71,6 milliards d'euros).
En termes de dépenses en restauration, la France occupait en 2023 la quatrième position en Europe, avec 94,7 milliards d'euros, juste derrière l'Italie.
La restauration commerciale a enregistré une hausse annuelle de 9 % en 2023, soutenue par une augmentation de 7 % du ticket moyen.
Le marché de la restauration en France atteindra 104,08 milliards de dollars en 2029 (environ 96,4 milliards d'euros).
Les dépenses liées à la restauration en France devraient atteindre 103,4 milliards d'euros en 2028, contre 94,7 milliards d'euros en 2023, soit une augmentation annuelle moyenne de 1,4 %.
Les restaurants en France représentent la deuxième plus grande source de revenus de la restauration en Europe.
Croissance du secteur
Les cafés et bars afficheront le taux de croissance le plus rapide de 4,1 % sur la période 2021-2026, grâce à leur popularité croissante chez les jeunes et les professionnels.
Les établissements indépendants enregistreront une croissance rapide de 5,3 % sur la période 2021-2026, attirant les consommateurs avec des services de qualité supérieure.
Les cuisines virtuelles (cloud kitchens) sont le segment de restauration connaissant la croissance la plus rapide en France.
Depuis 1980, la demande dans le secteur de la restauration française a augmenté en moyenne de 0,5 % par an.
Depuis 2010, le marché de la restauration française a enregistré une croissance annuelle moyenne de 2,3 %.
En 2028, le secteur lucratif de la restauration en France atteindra 177,8 milliards d'euros, avec une croissance annuelle moyenne de 3,9 % depuis 2023.
Entre 2018 et 2023, le nombre de transactions dans les restaurants en France a augmenté de 1,2 % par an, témoignant d'une demande croissante.
Entre 2019 et 2024, le chiffre d'affaires des restaurants en France a connu une croissance annuelle moyenne de 3,2 %.
Le chiffre d'affaires de la restauration en France atteindra environ 130,6 milliards d'euros en 2028, contre 117,3 milliards d'euros en 2023, avec une croissance annuelle moyenne de 1,7 %.
Le marché de la restauration en France atteindra 1,32 milliard de dollars d'ici 2026, avec un taux de croissance annuel composé (CAGR) de 3,5 %.
Le taux de croissance annuel composé (CAGR) de la restauration en France est de 6,13 % entre 2024 et 2029.
L'activité économique
Les restaurants à service rapide détiennent la plus grande part du marché (49.7%) de la restauration en France.
Les restaurants à service rapide (QSR) représentaient 39,9 % des ventes totales du secteur de la restauration en France en 2023.
35 % des restaurants appartiennent au segment de la restauration rapide.
L'industrie de la restauration en France emploie 833 000 personnes en 2024, réparties dans divers établissements.
65 % des restaurants relèvent de la catégorie traditionnelle.
En 2023, il y avait un restaurant pour 170 habitants en France, contre un pour 210 habitants en 2013, montrant une forte croissance du nombre d’établissements.
Entre 2018 et 2023, le nombre d'établissements de restauration en France a enregistré une faible croissance annuelle moyenne de 0,3 %.
Le nombre d'entreprises opérant dans le secteur de la restauration en France atteint 214 000 en 2024.
Le nombre de restaurants continue de croître, mais les fermetures d'établissements ont bondi de 45% entre 2022 et 2023.
Les étoilés
88 restaurants en France ont obtenu deux étoiles dans la sélection 2023.
9 des restaurants trois étoiles se trouvent en région Auvergne-Rhône-Alpes.
En 2023, 29 restaurants en France ont obtenu trois étoiles MICHELIN.
En France, 513 restaurants ont été récompensés d’une étoile MICHELIN en 2023.
La Bretagne compte 7 nouveaux restaurants étoilés en 2023.
La région Île-de-France compte 20 restaurants nouvellement étoilés cette année.
La scène gastronomique parisienne comprend 13 restaurants trois étoiles.
Le Guide MICHELIN France 2023 recense 630 restaurants étoilés.
Les étoiles vertes du Guide Michelin ont été attribuées à 8 établissements cette année.
Parmi les restaurants étoilés du Guide Michelin, 44 ont été nouvellement étoilés en 2023.
Les chiffres pour comprendre le Business Model des restaurants en France en 2025
Occupation
Les restaurants rapides atteignent un taux de remplissage de 94 %.
Le taux d'occupation d’un restaurant se situe entre 50% et 80%, influencé par son attractivité et sa localisation.
Le taux de fidélisation client d’un restaurant est généralement de 50% à 70%, selon la qualité de l’expérience offerte.
Les restaurants traditionnels ont un taux de remplissage de 60 %.
Fonctionnement
En 2024, la rotation des stocks des restaurants rapides a augmenté à 21 jours.
25 % des établissements de restauration ouvrent plus de 6 jours par semaine.
29 % des établissements en France ouvrent entre 5 et 6 jours par semaine.
41 % des établissements de restauration ouvrent exactement 6 jours par semaine.
42 % des activités de restauration concernent uniquement des restaurants sans activités annexes.
5 % des restaurants incluent une activité événementielle.
5 % des restaurants ouvrent moins de 5 jours par semaine.
55 % des restaurants proposant des activités complémentaires offrent également des services à emporter.
58 % des restaurants combinent leur activité avec d'autres services, comme des bars, des plats à emporter ou des événements.
7 % des restaurants proposant des activités complémentaires sont associés à des hôtels.
En 2024, les restaurants traditionnels ont enregistré une rotation de stocks de 27 jours.
En restauration, 85 % des services sont réalisés à midi et le soir, contre seulement 15 % exclusivement le midi.
Le taux moyen de perte matière pour les restaurants est de 2,33 %.
Les établissements de restauration sont ouverts en moyenne 6 jours par semaine.
Parmi les restaurants avec activités complémentaires, 33 % incluent un bar.
Les restaurateurs
34 % des exploitants de restaurant sont assimilés salariés.
36 % des restaurants sont localisés en milieu rural.
66 % des exploitants de restaurant ont le statut de travailleur non salarié.
En mars 2024, 78 % des restaurateurs indépendants se déclarent confiants ou très confiants sur leur activité, une hausse de 15 points par rapport au trimestre précédent.
En restauration, le taux de chômage stable à 7,6 % reflète une situation économique qui reste positive malgré les défis.
Environ 10 % des restaurants se trouvent dans des villes de moins de 100 000 habitants.
Environ 17 % des propriétaires de restaurants ont entre 60 et 69 ans.
Environ 18 % des restaurateurs ont entre 30 et 39 ans.
Les femmes dirigent 19 % des restaurants, tandis que les hommes en dirigent 66 %.
Les restaurateurs âgés de 50 à 59 ans représentent 34 %.
Les restaurateurs ont en moyenne 49,2 ans, contre 51,7 ans en 2023.
Moins de 1 % des restaurateurs ont plus de 70 ans.
Plus de 52 % des restaurants sont situés dans des grandes villes, de plus de 100 000 habitants.
Près de 20 % des restaurateurs avouent ne pas savoir évaluer le juste prix des produits qu’ils achètent.
Près de 21 % des restaurants relèvent de l’impôt sur le revenu, alors que 79 % dépendent de l’impôt sur les sociétés.
Près de 28 % des dirigeants de restaurants ont entre 40 et 49 ans.
Seulement 15 % des restaurants sont gérés par des couples.
Seulement 2 % des restaurants sont implantés dans un centre commercial.
Seuls 3 % des propriétaires de restaurants ont entre 20 et 29 ans.
Les chiffres propres aux finances des restaurants en France en 2025
Les revenus
En restauration rapide, le prix moyen d’un plat du jour est de 11,5 € TTC.
Le prix moyen d'un ticket dans un service de restauration rapide est de 18 € TTC.
En restauration traditionnelle, le prix moyen d’un plat du jour est de 17,61 € TTC.
Le panier moyen par client d’un restaurant oscille entre 25 € et 70 €, en fonction de la gamme et des plats proposés.
Le prix moyen d’un plat du jour en restauration est de 15,89 € en 2024, contre 15,41 € en 2023.
Le prix moyen d'un ticket dans un service de restauration traditionnel est de 33 € TTC.
Le ticket moyen par plat vendu varie de 15 € à 50 €, selon la gamme des plats proposés.
Les dépenses
Les restaurants rapides remboursent en moyenne 21 655 euros par an.
Sur un an d'exploitation, les investissements pour les restaurants rapides sont de 18 171 euros, contre 14 776 euros pour les traditionnels.
Dans une autre répartition, les achats de matières représentent 32 % des revenus des restaurants.
En 2024, le coût global de l'énergie pour les restaurants a encore grimpé, atteignant 14 074 €.
Le résultat net des restaurants correspond à 11 % de leurs revenus.
Les achats de matières représentent 34 % des revenus générés par les restaurants.
Les autres charges externes augmentent légèrement à 8 % des revenus des restaurants.
Les autres charges externes représentent 5 % des revenus des restaurants.
Les charges de personnel atteignent 37 % des revenus d’exploitation des restaurants dans cette configuration.
Les charges de personnel constituent 31 % des revenus d’exploitation des restaurants.
Les dépenses diverses baissent à 3 % des revenus d’exploitation des restaurants.
Les dépenses diverses s’élèvent à 4 % des revenus d’exploitation des restaurants.
Les loyers des locaux pèsent 15 % des revenus des restaurants.
Les loyers des locaux restent à 15 % des revenus des restaurants.
Le chiffre d'affaires annuel d’un restaurant varie entre 200 000 € et 1 000 000 €, selon son emplacement, sa taille et sa fréquentation.
Le coût de la main-d'œuvre se situe entre 30% et 40% du chiffre d'affaires, en fonction de la taille de l'équipe et du niveau de service.
Le coût des marchandises vendues représente entre 25% et 35% du chiffre d'affaires d’un restaurant, selon la qualité et le prix des ingrédients.
Le coût des matières premières hors nourriture représente environ 10% à 20% du chiffre d'affaires, selon l’importance des ventes de boissons et consommables.
Les investissements moyens sur un an pour l'exploitation d'un restaurant sont de 15 976 euros.
Les remboursements moyens des emprunts en restaurant s’élèvent à 23 380 euros sur un an.
Les restaurants traditionnels remboursent en moyenne 24 325 euros par an.
La rentabilité
Les restaurants rapides appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,0 sur les produits solides.
Les restaurants rapides appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,4 sur les liquides alcoolisés.
Les restaurants rapides appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,8 sur les liquides non alcoolisés.
En 2024, les restaurants rapides avaient encore 63 846 € d’emprunts à rembourser.
En 2024, les restaurants rapides disposaient d’une trésorerie moyenne réduite à 44 429 €.
En 2024, les restaurants rapides ont diminué leur crédit fournisseurs à 17 jours.
En 2024, les stocks des restaurants rapides ont diminué pour s’établir à 5 891 €.
En 2024, les restaurants de restauration rapide avec un chiffre d'affaires inférieur à 350 000 € affichent une trésorerie moyenne de 60 000 €.
En 2024, les immobilisations nettes des restaurants rapides ont diminué à 112 705 €.
En 2024, la trésorerie moyenne des restaurants de restauration rapide avec un chiffre d'affaires supérieur à 350 000 € est descendue à 100 000 €.
La marge brute d’un restaurant est généralement comprise entre 60% et 75%, influencée par les coûts des matières premières et leur prix de vente.
La marge nette d’un restaurant varie de 5% à 15%, après déduction des charges fixes et des frais opérationnels.
Le budget marketing annuel d’un restaurant est compris entre 5 000 € et 20 000 €, selon les stratégies publicitaires utilisées.
Le retour sur investissement d’un restaurant est estimé entre 2 et 5 ans, selon la rentabilité et la gestion des coûts.
Les restaurants traditionnels appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,2 sur les liquides alcoolisés.
Les restaurants traditionnels appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,3 sur les liquides non alcoolisés.
Les restaurants traditionnels appliquent un coefficient multiplicateur HT de 3,3 sur les produits solides.
En 2024, les immobilisations nettes des restaurants traditionnels ont atteint 223 505 €.
En 2024, les restaurants traditionnels avec un chiffre d'affaires inférieur à 350 000 € affichent une trésorerie moyenne de 60 000 €.
En 2024, les restaurants traditionnels avec un chiffre d'affaires supérieur à 350 000 € affichent une trésorerie moyenne de 120 000 €.
En 2024, les restaurants traditionnels devaient encore 90 857 € sur leurs emprunts.
En 2024, les restaurants traditionnels ont maintenu une trésorerie moyenne de 109 598 €.
En 2024, les restaurants traditionnels ont stabilisé leur crédit fournisseurs à 22 jours.
En 2024, les stocks des restaurants traditionnels ont continué à progresser pour s’établir à 10 726 €.
Les chiffres propres à la consommation dans les restaurants en France en 2025
Attentes générales et tendances culinaires
40 % des consommateurs valorisent une atmosphère accueillante et agréable en restaurant, justifiant un prix plus élevé.
47 % des Français souhaitent manger des plats qu’ils ne peuvent pas préparer eux-mêmes.
47 % des 18-24 ans recherchent des portions suffisantes lorsqu’ils mangent au restaurant.
51 % des Français vont au restaurant pour passer un moment agréable avec leurs proches.
51 % des Français en général partagent cette attente de moments agréables entre proches dans un restaurant.
58 % des 60-69 ans privilégient les plats qu’ils ne peuvent pas cuisiner chez eux.
63 % des 70 ans et plus vont au restaurant pour partager un moment agréable avec leurs proches.
66% des consommateurs veulent des produits locaux quand ils sont à la recherche d'un restaurant
83% des clients préfèrent manger dans un lieu calme lors d'une sortie au restaurant.
28 % des Français attendent un service de qualité dans les restaurants qu’ils fréquentent.
60 % des Français apprécient la cuisine italienne, la plaçant en deuxième position après la cuisine française.
72 % des clients des chaînes de café consomment sur place, montrant une préférence marquée pour le confort de ces espaces.
Choix d'un restaurant
En 2024, 71 % des consommateurs apprécient le côté pratique et rapide d’un restaurant dans leur décision de fréquentation.
En 2024, 10 % des consommateurs peu attentifs aux effets de l’alimentation sur leur santé estiment que cela contribue fortement à leur décision de fréquenter un restaurant.
En 2024, 13 % des consommateurs qui mangent rarement des produits bio estiment que cela contribue beaucoup à leur décision de fréquenter un restaurant.
En 2024, 21 % des consommateurs assez attentifs aux effets de l’alimentation sur leur santé affirment que cela influence beaucoup leur choix de restaurants.
En 2024, 25 % des consommateurs qui consomment des produits bio régulièrement indiquent que cette pratique influence fortement leur choix de restaurants.
En 2024, 31 % des consommateurs très attentifs aux effets de l’alimentation sur leur santé disent que cela joue un rôle important dans leur choix de restaurants.
En 2024, 33 % des consommateurs qui mangent quotidiennement des produits bio déclarent que cette habitude influence beaucoup leur choix de restaurants.
En 2024, 54 % des consommateurs soulignent l’importance de manger des plats issus de l’agriculture biologique lorsqu’ils choisissent un restaurant.
En 2024, 60 % des consommateurs disent que les qualités nutritionnelles des plats influencent leur préférence pour un restaurant.
En 2024, 62 % des consommateurs mentionnent l’aspect économique et le rapport qualité-prix comme des raisons importantes de leur choix de restaurant.
En 2024, 66 % des consommateurs citent l’origine locale des produits comme une motivation dans leur choix d’un restaurant.
En 2024, 70 % des consommateurs déclarent que la proximité avec leur domicile ou lieu de travail est un critère pour choisir un restaurant.
En 2024, 79 % des consommateurs considèrent que le changement et la diversité des menus sont importants dans leur choix d’un restaurant.
En 2024, 82 % des consommateurs estiment que la possibilité de manger des produits frais ou de saison influence leur choix d’un restaurant.
En 2024, 86 % des consommateurs indiquent que le plaisir pour les membres de leur famille joue un rôle dans leur décision de fréquenter un restaurant.
En 2024, 89 % des consommateurs déclarent que la convivialité est un facteur qui influence leur choix d’un restaurant.
En 2024, 9 % des consommateurs pas du tout attentifs à l’impact de l’alimentation sur leur santé disent que cela influence fortement leur choix de restaurants.
En 2024, 9 % des non-consommateurs de produits bio déclarent que cette pratique influence fortement leur choix de restaurants.
En 2024, 93 % des consommateurs affirment que le plaisir, comme le goût et les saveurs, contribue à leur choix d’un restaurant.
16 % des Français s'appuient sur les recommandations de proches ou amis pour choisir un restaurant.
19 % des 45-59 ans prennent en compte la localisation du restaurant dans leur décision.
32 % des 70 ans et plus choisissent un restaurant sur les recommandations d’un proche.
35 % des consommateurs sont prêts à payer davantage pour des produits provenant de circuits courts dans les restaurants.
36 % des Français estiment qu’ils recherchent des quantités suffisantes au restaurant.
37 % des clients considèrent un excellent service comme un critère pour accepter des prix plus élevés au restaurant.
38 % des clients privilégient des restaurants moins chers pour limiter leurs dépenses en 2024.
39 % des Français veulent découvrir de nouveaux produits et saveurs en allant au restaurant.
43 % des 45-59 ans souhaitent découvrir de nouveaux produits et saveurs en mangeant dehors.
48 % des Français estiment que le prix est le deuxième critère le plus important pour choisir un restaurant.
55 % des Français considèrent le type de cuisine proposé comme le critère principal pour choisir un restaurant.
74% considèrent qu'être dans un vrai restaurant est crucial pour apprécier leur repas.
78 % des Français préfèrent la cuisine française, ce qui en fait le choix culinaire numéro un.
92% des Français estiment qu'être assis est indispensable pour une expérience culinaire au restaurant.
En 2024, 71 % des clients sont prêts à payer plus cher pour des plats faits maison dans les restaurants.
La cuisine chinoise est préférée par 26 % des Français, se classant en troisième position.
La cuisine maghrébine est appréciée par 14 % des Français, dépassant légèrement la cuisine japonaise à 19 %.
Le type de cuisine proposé et le prix sont des critères clés pour toutes les tranches d’âge.
Pour les 18-24 ans, 54 % privilégient le prix lorsqu’ils choisissent un restaurant.
Pour les 60-69 ans, 66 % se basent principalement sur le type de cuisine proposé.
29 % des consommateurs optent pour des produits moins coûteux lorsqu’ils commandent au restaurant.
Fréquentation
48 % des Français visitent les lieux de restauration rapide, surtout les jeunes âgés de 18 à 24 ans.
12 % des français fréquentent les restaurants une fois tous les 2-3 mois, et 10 % encore moins souvent.
13 % des Français utilisent un service de restauration au moins une fois par semaine.
16 % des Français vont au restaurant une fois tous les 2-3 mois, et 9 % moins souvent.
24 % des Français consomment dans des établissements de restauration au moins une fois par semaine pour le dîner.
24 % des Français dînent au restaurant au moins une fois par semaine.
38 % des Français mangent au restaurant au moins une fois par semaine pour le déjeuner.
40 % des consommateurs déclarent aller moins souvent au restaurant pour réduire leurs dépenses.
42% des Français déclarent aller moins souvent au restaurant par rapport à il y a 5 ans, principalement en raison de l'inflation.
48 % des Français déclarent aller au restaurant ou utiliser un service de restauration au moins une fois par mois.
50 % des Français sont intéressés par les restaurants gastronomiques, mais beaucoup considèrent le budget comme un frein.
50 % des Français vont au restaurant au moins une fois par mois.
52% des 18-24 ans déclarent aller plus souvent au restaurant qu'il y a 5 ans, contre seulement 13% des 70 ans et plus.
55 % des Français fréquentent principalement les restaurants traditionnels, ce qui les place en tête des préférences.
57 % des Français déclarent avoir envie d’aller dans des restaurants à thème comme les buffets ou brunchs.
6 % des français ne vont jamais au restaurant pour le déjeuner.
En 2023, le chiffre d’affaires de la consommation hors domicile a progressé de 9 %, porté principalement par l’inflation.
En 2024, 43 % des consommateurs déclarent aller moins souvent au restaurant en raison d’arbitrages budgétaires.
En 2024, 94 % des personnes interrogées consomment sur place au moins une fois par semaine dans un restaurant.
En 2024, seuls 2 % des consommateurs envisagent de réduire leur fréquence de repas pris sur place dans un restaurant.
La baisse de fréquentation en juillet 2024 dans les restaurants parisiens a atteint jusqu’à 70 % dans certains cas à cause des zones de sécurité des Jeux Olympiques.
La fréquentation des restaurants a baissé de 9,2 % entre 2019 et 2024, passant de 5,1 milliards de visites à 4,6 milliards.
Les cadres sont les plus susceptibles de fréquenter les restaurants gastronomiques à 33 %.
Les clients ont été légèrement moins nombreux à fréquenter les restaurants en 2023, avec une baisse de 2% par rapport à 2022.
Les restaurants à thème attirent 36 % des Français, en particulier les couples sans enfants.
Les vacances d’hiver 2023-2024 ont boosté la restauration, particulièrement dans les massifs alpins, où le taux d’occupation a atteint 82 %, soit une hausse de 9 % par rapport à l’année précédente.
Parmi les moins de 35 ans, 72 % fréquentent les services de restauration au moins une fois par mois.
Seulement 1 % des français ne vont jamais au restaurant pour le dîner.
Dépenses moyennes
10 % des consommateurs dépensent entre 16 € et 23 € pour un dîner.
12 % des consommateurs dépensent entre 8 € et 11 € pour un déjeuner.
21 % des Français dépensent plus de 23 € pour un déjeuner au restaurant.
23 % des consommateurs déclarent dépenser plus de 40 € pour un dîner.
25 % des consommateurs consacrent entre 11 € et 16 € pour un déjeuner au restaurant.
27 % des Français consacrent entre 30 € et 40 € pour un dîner au restaurant.
35 % des consommateurs dépensent entre 23 € et 30 € pour un dîner.
En moyenne, les Français dépensent 120 € par mois pour aller au restaurant.
Les couples dépensent 139 € par mois dans les restaurants, contre 88 € pour les personnes vivant seules.
Les foyers gagnant plus de 3000 € nets par mois consacrent en moyenne 163 € au restaurant.
Les parents consacrent en moyenne 159 € par mois aux restaurants, contre 100 € pour les personnes sans enfants.
38 % des Français dépensent entre 16 € et 23 € dans un restaurant.
49 % des Français dépensent moins de 30 € au restaurant.
Seulement 3 % des Français déclarent dépenser moins de 8 € pour un déjeuner au restaurant.
Seulement 4 % des Français dépensent moins de 16 € pour un dîner au restaurant.
Perception et rapport qualité-prix
15 % des clients pensent que le rapport qualité-prix des restaurants a diminué en 2024.
43 % des consommateurs estiment que la part de leur revenu disponible consacrée aux restaurants reste similaire en 2024.
58 % des consommateurs considèrent que le rapport qualité-prix dans les restaurants est resté équivalent au cours du dernier mois de 2024.
En 2024, 27 % des clients estiment obtenir un meilleur rapport qualité-prix lorsqu'ils mangent au restaurant.
En 2024, 83 % des personnes interrogées estiment que les prix des produits alimentaires ont augmenté dans le secteur de la restauration.
Plus de la moitié des Français (59 %) déclarent que les prix des repas au restaurant sont devenus trop élevés pour eux.
La confiance des consommateurs en restauration est relativement élevée, avec un indice à 89.
Expériences culinaires
21% des Français sont prêts à payer pour participer à une expérience exclusive avec un chef.
32% des Français accepteraient de renoncer à d'autres sorties pour financer une expérience culinaire avec un chef renommé.
33% des Français aimeraient rencontrer un chef de grande notoriété au restaurant.
34% apprécient quand le chef collabore avec des marques connues dans un restaurant.
41% des Français sont prêts à se déplacer dans une autre ville pour rencontrer un chef prestigieux.
65% des Français déclarent être intéressés par une expérience exclusive avec un chef.
69% accordent de l'importance à un service de grande qualité au restaurant.
69% des Français souhaitent une expérience inédite pour être motivés à aller au restaurant.
Gastronomie et perception
13 % des Français consultent les avis sur internet pour décider d'un restaurant.
29% estiment qu'un post du chef sur les réseaux sociaux suscite leur envie de visiter un restaurant.
65% des Français prennent des photos de leurs plats au restaurant avant de les manger, mais seulement 24% le font systématiquement ou souvent.
84% voient la gastronomie comme un art comparable à la peinture, la musique ou la littérature.
85% estiment qu'aller dans un restaurant étoilé représente un accès au luxe.
86% comparent certains chefs à de véritables artistes dans le monde de la restauration.
90% considèrent qu'un plat peut procurer de fortes émotions dans un restaurant.
Changements dans les habitudes
2 personnes sur 5 déclarent dépenser moins au restaurant que l'année dernière.
43 % des clients réduisent leurs dépenses en commandant volontairement moins de plats dans les restaurants.
44% des Français ont diminué leurs dépenses totales en restauration par rapport à il y a 5 ans.
56 % des consommateurs ont réduit au moins une composante de leurs repas, principalement les entrées, pour contrôler leurs dépenses.
58 % des clients qui dépensent moins dans les restaurants choisissent des plats avec un meilleur rapport qualité-prix.
Les moins de 35 ans sont le groupe démographique ayant le plus augmenté leurs dépenses globales en restauration.
En 2024, 40 % des consommateurs déclarent consacrer une part inférieure de leur revenu disponible aux restaurants par rapport à l’année précédente.
Une minorité de 33% des Français a augmenté son budget consacré aux restaurants, surtout chez les moins de 35 ans.
Seuls 17 % des clients consacrent une part supérieure de leur revenu disponible aux restaurants en 2024.
75 % des consommateurs pensent que les prix dans les restaurants sont plus élevés en 2024 par rapport au mois précédent.
57% des 18-24 ans ont augmenté leurs dépenses au restaurant, contre seulement 33% des 70 ans et plus.
Chaque client a dépensé en moyenne 9% de plus, ce qui a fait grimper le chiffre d'affaires en restauration.
13 % des clients utilisent davantage de coupons et d’offres pour réduire leurs coûts au restaurant.
Réseaux sociaux et partage d'expériences
10% des personnes de 60 à 69 ans partagent des photos de leurs plats, un des taux les plus faibles toutes catégories confondues.
34% des 18-24 ans partagent systématiquement des photos des plats sur les réseaux sociaux, beaucoup plus que les autres groupes d'âge.
36% consultent les publications de Chefs ou de restaurants en ligne, principalement les moins de 35 ans.
36% partagent pour donner envie à leurs proches d’essayer le restaurant, indiquant une intention de promotion personnelle.
37% partagent l’ambiance du restaurant pour en faire profiter leurs proches, soulignant l’importance du cadre.
40% des 18-24 ans prennent régulièrement des photos de leurs plats au restaurant, le taux le plus élevé parmi les classes d'âge.
42% suivent des comptes recommandant des restaurants sur les réseaux sociaux, reflétant une recherche active d’expériences culinaires.
43% déclarent qu'une photo des plats sur les réseaux sociaux les inciterait à visiter un restaurant.
43% des Français partagent des photos de leurs proches au restaurant, mais une minorité de 15% le fait souvent.
43% partagent la beauté des plats avec leurs proches, montrant l’importance de l’esthétique dans l’expérience culinaire.
44% partagent des photos des plats qu'ils ont aimés sur les réseaux sociaux, mais seulement 15% le font régulièrement.
45% des Français consultent les recettes de Chefs sur les réseaux sociaux, surtout les jeunes et les utilisateurs d’Instagram.
51% des Français partagent des photos pour se souvenir d'un moment particulier passé au restaurant, indiquant une forte motivation émotionnelle.
57% ne partagent jamais de photos des lieux ou des plats sur les réseaux sociaux, indiquant une préférence pour une expérience privée.
Les moins de 35 ans sont les plus actifs sur les réseaux sociaux pour partager leur expérience culinaire, contrairement aux plus de 70 ans.
Les utilisateurs de Facebook sont moins nombreux à consulter les contenus liés à la gastronomie (49%) comparé à Instagram (63%).
À emporter
La satisfaction pour les commandes à emporter en fast-food/burger est de 7,4/10, un score légèrement inférieur aux autres modes de consommation.
27 % de la génération Z passent une commande via un drive au moins une fois par semaine dans les restaurants.
27 % des consommateurs avaient prévu de diminuer leurs commandes à emporter auprès des restaurants en 2024.
29 % des Français achètent de la nourriture à emporter au moins une fois par mois.
37% des consommateurs commandent moins de nourriture à emporter qu'il y a 5 ans.
65 % des consommateurs choisissent de prendre leurs repas à emporter au moins une fois par semaine dans un restaurant.
84 % de la génération Z commandent à emporter au moins une fois par semaine auprès des restaurants.
84 % des ménages avec enfants passent au moins une commande à emporter par semaine dans les restaurants.
En Île-de-France, 45 % des consommateurs achètent des repas à emporter au moins une fois par mois.
La diminution de commandes de nourriture à emporter touche 41% des Français, particulièrement les plus de 45 ans.
Les commandes de nourriture à emporter ont augmenté pour 48% des 18-24 ans, mais diminué pour 35% des 45-59 ans.
Les dépenses liées aux commandes à emporter ont diminué chez 36% des consommateurs.
Les moins de 35 ans sont les plus nombreux, avec 55 % déclarant commander à emporter au moins une fois par mois.
Seuls 19 % des clients utilisent le drive au moins une fois par semaine pour leurs commandes en restaurant.
Livraison
12 % des consommateurs évitent les frais de livraison en ne commandant pas de repas livrés depuis les restaurants.
20 % des Français commandent de la nourriture en livraison au moins une fois par mois.
34% des Français ont réduit leurs dépenses pour les livraisons de nourriture.
39% des Français ont diminué leurs commandes de nourriture en livraison par rapport à 5 ans auparavant.
44% des Français de plus de 70 ans commandent moins de nourriture en livraison qu'il y a 5 ans.
67 % des ménages avec enfants utilisent la livraison au moins une fois par semaine pour leurs repas.
69 % de la génération Z utilisent les services de livraison au moins une fois par semaine pour leurs repas.
D'ici 2029, 14,3 millions de personnes utiliseront les services de livraison de restaurants en France.
En 2024, le marché de la livraison de restaurants en France générera un revenu de 1,46 milliard de dollars (environ 1,35 milliard d'euros).
En Île-de-France, 36 % des consommateurs utilisent les services de livraison au moins une fois par mois.
La livraison est utilisée par 49 % des clients au moins une fois par semaine pour leurs repas dans un restaurant.
Le marché de la livraison de restaurants en France devrait croître de 3,12 % par an, atteignant 1,71 milliard de dollars (environ 1,58 milliard d'euros) en 2029.
Le revenu moyen par utilisateur (ARPU) dans le marché de la livraison de restaurants en France est estimé à 112,50 dollars (environ 104 euros).
Le taux de pénétration des utilisateurs des services de livraison de restaurants passera de 20,1 % en 2024 à 21,9 % en 2029 en France.
Les dépenses de livraison de nourriture sont en forte baisse chez les plus de 60 ans, avec une diminution signalée par 34% à 39%.
Les jeunes âgés de 18 à 24 ans sont les plus actifs, avec 42 % d'entre eux commandant en livraison au moins une fois par mois.
Le bio
En 2023, 29 % des consommateurs quotidiens de produits bio affirment que les produits bio représentent plus de 75 % de leur consommation alimentaire quotidienne.
En 2023, 29 % des consommateurs quotidiens de produits bio considèrent que les produits bio composent entre 25 % et moins de 50 % de leur consommation alimentaire quotidienne.
En 2023, 33 % des consommateurs quotidiens de produits bio déclarent que les produits bio constituent entre 50 % et 75 % de leur consommation alimentaire quotidienne.
En 2023, 9 % des consommateurs quotidiens de produits bio estiment que les produits bio représentent moins de 25 % de leur consommation alimentaire quotidienne.
En 2024, 1 % des consommateurs de produits bio commandent des plats bio dans des restaurants classiques plusieurs fois par semaine.
En 2024, 14 % des consommateurs estiment que l’offre de produits bio dans les restaurants classiques est inexistante.
En 2024, 24 % des consommateurs jugent que l’offre de produits bio dans les restaurants classiques est plutôt restreinte.
En 2024, 26 % des consommateurs se déclarent très intéressés par des repas avec des produits bio au restaurant.
En 2024, 27 % des consommateurs de produits bio commandent rarement (moins souvent que 2 à 3 fois par mois) des plats bio dans des restaurants classiques.
En 2024, 29 % des consommateurs déclarent ne pas du tout être intéressés par des repas avec des produits bio au restaurant.
En 2024, 3 % des consommateurs de produits bio commandent des plats bio dans des restaurants classiques environ une fois par semaine.
En 2024, 45 % des consommateurs se disent plutôt intéressés par des repas avec des produits bio au restaurant.
En 2024, 51 % des consommateurs considèrent que l’offre de produits bio dans les restaurants classiques est très restreinte.
En 2024, 6 % des consommateurs de produits bio commandent des plats bio dans des restaurants classiques environ 2 à 3 fois par mois.
En 2024, 64 % des consommateurs de produits bio ne commandent jamais de plats bio dans des restaurants classiques.
En 2024, 7 % des consommateurs affirment être plutôt pas intéressés par des repas avec des produits bio au restaurant.
En 2024, 8 % des consommateurs pensent que l’offre de produits bio dans les restaurants classiques est plutôt étendue.
En 2024, l’intérêt total des consommateurs pour des repas avec des produits bio au restaurant atteint 71 %.
Seuls 17 % des clients sont sensibles à l'utilisation d'ingrédients bio pour justifier des prix plus élevés dans les restaurants.
Performances et statistiques de la restauration rapide
La consommation de burgers en France augmente de 10 % par an, avec environ 1 milliard de burgers consommés chaque année.
Le Click & Collect en fast-food/burger atteint une satisfaction de 7,9/10, au même niveau que la livraison.
Le drive obtient une note de satisfaction de 7,8/10 en fast-food/burger, proche de la consommation sur place.
Le niveau de satisfaction pour la consommation sur place en fast-food/burger est de 7,7/10, ce qui en fait l’un des canaux les plus appréciés.
Les clients évaluent la satisfaction pour la livraison en fast-food/burger à 7,9/10, soulignant une préférence pour ce mode.
Expérience et satisfaction client en restauration rapide
19 % des clients de la restauration rapide estiment que l’équipier idéal doit être efficace et rapide, pour répondre rapidement à leurs demandes.
78 % des clients de la restauration rapide estiment qu’avoir des espaces isolés ou dédiés est important, notamment pour des zones adultes.
61 % des Français considèrent les lieux de restauration rapide comme attractifs.
29 % des clients préfèrent avoir des espaces isolés ou dédiés, ce qui améliore leur confort et expérience en restauration rapide.
44 % des clients sur place apprécient le décor et le cadre, indiquant une perception mitigée sur cet aspect en restauration rapide.
71 % des clients valorisent un personnel qui débarrasse les tables, soulignant l’importance d’un espace propre en restauration rapide.
52 % des clients de pizzerias consomment seuls ou en famille, ce qui reflète une flexibilité d’usage dans ce type de restauration rapide.
24 % des clients attendent des conseils sur les nouveautés au comptoir, afin d’être guidés dans leurs choix de menus en restauration rapide.
28 % des clients valorisent un personnel qui débarrasse les tables, pour garantir un espace propre et accueillant dans un restaurant rapide.
32 % des clients souhaitent pouvoir personnaliser leur commande, pour mieux répondre à leurs préférences alimentaires dans un restaurant rapide.
46 % des clients estiment que la polyvalence est essentielle, afin que le personnel puisse accomplir des tâches variées dans les restaurants rapides.
65 % des clients de fast-food/burgers mangent sur place, ce qui en fait le mode de consommation le plus courant pour ce type de restauration rapide.
70 % des clients en livraison sont très satisfaits de la facilité de commander, montrant l’efficacité des systèmes en ligne dans la restauration rapide.
43 % des clients souhaitent un personnel serviable, car l’aide aux bornes et un accueil chaleureux sont souvent jugés insuffisants dans les restaurants rapides.
36 % des clients considèrent l’accès à des informations claires et précises comme essentiel, car cela influence directement leur choix dans un restaurant rapide.
43 % des clients de boulangeries ou sandwicheries préfèrent commander à emporter, démontrant une forte demande de praticité dans ce segment de restauration rapide.
64 % des clients considèrent que respecter les règles de politesse et de courtoisie est la compétence la plus indispensable pour un équipier en restauration rapide.
34 % des clients à emporter jugent la gestion de l’affluence satisfaisante, un indicateur d’insatisfaction en fast-food.
36 % des clients sur place trouvent la gestion des périodes d’affluence satisfaisante, ce qui pointe vers un besoin d’optimisation des flux.
40 % des clients à emporter en fast-food se disent très satisfaits du temps d’attente, un chiffre inférieur qui révèle des attentes non satisfaites.
46 % des clients sur place jugent l’hygiène et la propreté du lieu très satisfaisantes, un critère crucial pour l’expérience en fast-food.
48 % des clients à emporter apprécient la qualité et la fraîcheur des produits, reflétant des attentes encore élevées dans ce domaine.
49 % des clients sur place jugent la qualité des produits satisfaisante, laissant une marge d’amélioration pour ce mode.
51 % des clients sur place sont satisfaits de la variété des produits, un chiffre similaire à celui des commandes à emporter.
56 % des clients sur place jugent la commande très facile, un point d’amélioration potentiel pour l’expérience sur site en fast-food.
57 % des clients attendent que le personnel soit garant de la propreté pour assurer un environnement agréable et hygiénique.
58 % des clients de fast-food/burgers s’y rendent en famille, montrant que ce type de restauration est souvent une activité familiale.
59 % des clients en livraison en fast-food/burger trouvent la variété des produits satisfaisante, plus que pour les autres canaux.
66 % des clients sur place en fast-food/burger sont très satisfaits des horaires d’ouverture, un atout clé pour ce type de restauration.
66% valorisent le fait d'attendre peu avant d'être servis dans un restaurant.
67 % des clients apprécient les options de commande en ligne et via une application, pour plus de flexibilité dans les fast-foods.
74 % des clients considèrent qu’un système de priorisation est important, pour gérer les commandes de manière plus fluide.
74 % des clients jugent qu’une aide à l’utilisation des bornes est essentielle, montrant un besoin d’accompagnement dans les fast-foods.
44 % des clients sur place sont satisfaits de l’ambiance générale, incluant musique, éclairage et atmosphère.
47 % des clients sur place sont satisfaits du confort et de l’aménagement des espaces, un point qui pourrait être renforcé.
56 % des clients en livraison sont satisfaits de la qualité et de la fraîcheur des produits, le plus haut score sur ce critère.